«Quand les gens disent que l’exploitation pétrolière a fait fuir les poissons, moi, je leur dis de me donner les preuves. Ce n’est pas l’exploitation qui est à l’origine de cette raréfaction. Il faut qu’on se pose des questions. Aujourd’hui nos océans sont tapis de plastique. Nos océans ne peuvent plus produire parce que l’agression marine est importante.
Quelqu’un a parlé de l’érosion côtière, mais c’est un phénomène naturel, personne ne peut l’arrêter. Par contre, il y a des mitigations qu’il faut faire, mais quand les gens, pour leur bonheur et plaisir personnel, vont s’installer en bordure de la côte et qui accélère le phénomène de l’érosion côtière, malheureusement, il faut peut-être que l’Etat prenne des décisions comme dans certains pays, de détruire toutes ces maisons pour freiner l’érosion côtière».
«Des gens tapis dans l’ombre poussent les populations à se rebeller»
«Par rapport à cette ressource halieutique, à un moment donné, on a vu le ministre Aly Haïdar qui faisait plonger des anciennes carcasses de voitures parce qu’on s’est dit que ce sont des zones de reproduction. C’est exactement la même chose dans nos plateformes.
Généralement dans certains pays, Norvège et Angola, on s’est rendu compte qu’au niveau des pieds des plateformes, la ressource halieutique se reproduit beaucoup et nous voyons ce qui explique souvent même que des piroguiers prennent le risque d’aller vers là -bas car ces zones sont devenues poissonneuses et c’est ça aussi le danger.
Le problème est qu’est-ce qu’il faut faire pour aider ces pêcheurs à avoir un peu plus de poissons et il faut y réfléchir. Nous sommes en train de travailler avec ces sociétés pour voir comment faire pour que ces poissons qui naissent et grandissent sous cette plateforme puissent être chassés et venir vers les pêcheurs. C
ela aussi ne se fait pas du jour au lendemain, ça nécessite une petite expertise, une observation pour voir comment ça se fait. Au niveau de Saint-Louis et Joal, nous discutons avec des gens, mais comme dans d’autres pays, et chez nous aussi, souvent il y a des gens qui sont tapis dans l’ombre et qui poussent les gens à râler. Souvent, nos populations ne comprennent pas parce qu’ils mettent beaucoup d’argent sur la table pour pousser les populations à se rebeller. Là aussi, il faut qu’on attire l’attention de nos populations».
Be Bi
Quelqu’un a parlé de l’érosion côtière, mais c’est un phénomène naturel, personne ne peut l’arrêter. Par contre, il y a des mitigations qu’il faut faire, mais quand les gens, pour leur bonheur et plaisir personnel, vont s’installer en bordure de la côte et qui accélère le phénomène de l’érosion côtière, malheureusement, il faut peut-être que l’Etat prenne des décisions comme dans certains pays, de détruire toutes ces maisons pour freiner l’érosion côtière».
«Des gens tapis dans l’ombre poussent les populations à se rebeller»
«Par rapport à cette ressource halieutique, à un moment donné, on a vu le ministre Aly Haïdar qui faisait plonger des anciennes carcasses de voitures parce qu’on s’est dit que ce sont des zones de reproduction. C’est exactement la même chose dans nos plateformes.
Généralement dans certains pays, Norvège et Angola, on s’est rendu compte qu’au niveau des pieds des plateformes, la ressource halieutique se reproduit beaucoup et nous voyons ce qui explique souvent même que des piroguiers prennent le risque d’aller vers là -bas car ces zones sont devenues poissonneuses et c’est ça aussi le danger.
Le problème est qu’est-ce qu’il faut faire pour aider ces pêcheurs à avoir un peu plus de poissons et il faut y réfléchir. Nous sommes en train de travailler avec ces sociétés pour voir comment faire pour que ces poissons qui naissent et grandissent sous cette plateforme puissent être chassés et venir vers les pêcheurs. C
ela aussi ne se fait pas du jour au lendemain, ça nécessite une petite expertise, une observation pour voir comment ça se fait. Au niveau de Saint-Louis et Joal, nous discutons avec des gens, mais comme dans d’autres pays, et chez nous aussi, souvent il y a des gens qui sont tapis dans l’ombre et qui poussent les gens à râler. Souvent, nos populations ne comprennent pas parce qu’ils mettent beaucoup d’argent sur la table pour pousser les populations à se rebeller. Là aussi, il faut qu’on attire l’attention de nos populations».
Be Bi