“Au début, rapporte-t-il, cela me faisait plutôt rire ; je m’étais contenté d’un démenti sur ma page Facebook. Mais malgré ce démenti, les gens continuent de persister. Certains m’ont conseillé de porter plainte, mais je ne voudrais pas en arriver là”. Dernièrement, cette malheureuse confusion a pris des proportions de plus en plus inquiétantes et commence à
perturber sérieusement M. Diop et ses proches. Désemparé, il revient sur son calvaire : “Cela a commencé à m’inquiéter très sérieusement le week-end dernier, la veille du procès de Sonko, quand des groupes WhatsApp ont fait circuler mes photos en donnant mon domicile, mes fréquentations, mes itinéraires… Depuis, mon téléphone explose. On m’appelle de partout, alors que je suis loin d’être un procureur de la République. Mes amis et mes parents en sont très inquiets.”
En fait, contrairement au vrai parquetier en chef qui est un peu éloigné des médias, notre interlocuteur, lui, compte à son actif pas mal de sorties médiatiques, en tant que haut fonctionnaire, mais surtout en tant qu’auteur qui a eu à faire dans les médias la promotion de ses ouvrages. Ce qui fait que sur les différents moteurs de recherche, il est bien plus coté que son faux homonyme de procureur.
Auteur de deux ouvrages : “Le cavalier du verbe” et “Les accidents de la route au Sénégal”, notre Abdou Karim qui n’a rien à voir avec le procureur de la République et est connu comme un brillant intellectuel, un fonctionnaire dévoué, qui se contente de bien accomplir ses tâches.
Malheureusement pour lui, on lui colle tellement de péchés que même son fils a commencé à douter de lui. Ironique, il déclare :
“On a dit que j’ai répudié ma femme et chassé mes six enfants de la maison. Tellement de choses, au point que même mon fils qui étudie au Canada, fatigué par les appels de ses amis, était obligé de m’appeler pour vérifier.”
“EnQuête” lui présente toutes ses excuses pour avoir utilisé sa photo en illustration d’un article intitulé : “Mort au cours des émeutes à Ngor” : Les précisions du procureur Diop”, paru dans notre édition du vendredi 12 mai 2023
EnQuete
perturber sérieusement M. Diop et ses proches. Désemparé, il revient sur son calvaire : “Cela a commencé à m’inquiéter très sérieusement le week-end dernier, la veille du procès de Sonko, quand des groupes WhatsApp ont fait circuler mes photos en donnant mon domicile, mes fréquentations, mes itinéraires… Depuis, mon téléphone explose. On m’appelle de partout, alors que je suis loin d’être un procureur de la République. Mes amis et mes parents en sont très inquiets.”
En fait, contrairement au vrai parquetier en chef qui est un peu éloigné des médias, notre interlocuteur, lui, compte à son actif pas mal de sorties médiatiques, en tant que haut fonctionnaire, mais surtout en tant qu’auteur qui a eu à faire dans les médias la promotion de ses ouvrages. Ce qui fait que sur les différents moteurs de recherche, il est bien plus coté que son faux homonyme de procureur.
Auteur de deux ouvrages : “Le cavalier du verbe” et “Les accidents de la route au Sénégal”, notre Abdou Karim qui n’a rien à voir avec le procureur de la République et est connu comme un brillant intellectuel, un fonctionnaire dévoué, qui se contente de bien accomplir ses tâches.
Malheureusement pour lui, on lui colle tellement de péchés que même son fils a commencé à douter de lui. Ironique, il déclare :
“On a dit que j’ai répudié ma femme et chassé mes six enfants de la maison. Tellement de choses, au point que même mon fils qui étudie au Canada, fatigué par les appels de ses amis, était obligé de m’appeler pour vérifier.”
“EnQuête” lui présente toutes ses excuses pour avoir utilisé sa photo en illustration d’un article intitulé : “Mort au cours des émeutes à Ngor” : Les précisions du procureur Diop”, paru dans notre édition du vendredi 12 mai 2023
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