D’Abidjan où je me trouvais pour cause d’obligations professionnelles, j’ai appris, avec émotion et sérénité, le rappel à Dieu de tonton Ousmane Sène Blay. Emotion, parce que je mesurais l’immense vide qui se dressait désormais devant nous ; sérénité, car son enseignement et son legs continueront d’être des leçons de vie pour tous ceux qui l’ont connu
et aimé.
Les hommages sont unanimes. De Rufisque et d’ailleurs. Ils honorent un rufisquois intégral, qui avait compris très tôt, « la nécessité de faire humanité ensemble et, ensemble, habiter le Sénégal », pour paraphraser l’expression du Professeur Souleymane Bachir Diagne.
Un homme d’équilibre, clairvoyant, à l’analyse fine et juste. Un talibé Cheikh, profondément attaché à l’enseignement de son guide Serigne Ababacar Sy et qui pouvait s’enorgueillir de l’amitié de Serigne Cheikh Tidiane Sy Al Makhtoum. Il était aussi un admirateur de Serigne
Fallou Mbacké et de tous ceux qui ont permis à notre pays de surmonter les épreuves et les lassitudes inévitables de la vie.
Les patrimoines nationaux que sont El Hadj Mansour Mbaye, Adja Khar Mbaye Madiaga et El hadj Barro Diène, sont témoins de ses amitiés et de ses fraternités : Alioune Badara Mbengue, Mbaye-Jacques Diop, Madabo Dieng, El Hadj Diouf, Badara Mbaye, Babacar Ndiaye Ndioro, Ndèye Sokhna Kane, Cheikh Guèye, Moussa Mbaye, Gaye Mohamed, Cheikh Ousmane Diagne, Djibril Dem, Amadou Racine Ndiaye, Atoumane Ndiaye, Natogo
Diagne, Amadou Sam Wagne, Gallo Nguer, Cora Fall…
Liens indéfectibles. Ils sont le symbole de la fraternité. La fraternité pour la dignité de la condition humaine. Et pour reprendre les mots du Président Senghor, « ils ne sont pas morts gratuits. Ils sont les témoins de l’Afrique immortelle, ils sont les témoins du monde nouveau qui sera demain ».
Sportif reconnu, analyste politique hors pair, insoumis, libre, le verbe haut, il fut de tous les combats, de toutes les batailles du Sénégal contemporain. Témoin et acteur. Un homme de son temps ; un homme de courage et de responsabilité.
Pater familias aimant et attentionné, il fut un guide et un repère pour sa famille et ses parents ; un refuge pour les indigents.
Je prenais plaisir à prendre place dans son salon rufisquois, pour l’entendre réciter le Sénégal dans ce qu’il a de singulier, de pluriel et d’universel. J’ai eu le privilège de son affection.
Que Firdaws soit sa demeure éternelle ! Affirme Vipeoples .
et aimé.
Les hommages sont unanimes. De Rufisque et d’ailleurs. Ils honorent un rufisquois intégral, qui avait compris très tôt, « la nécessité de faire humanité ensemble et, ensemble, habiter le Sénégal », pour paraphraser l’expression du Professeur Souleymane Bachir Diagne.
Un homme d’équilibre, clairvoyant, à l’analyse fine et juste. Un talibé Cheikh, profondément attaché à l’enseignement de son guide Serigne Ababacar Sy et qui pouvait s’enorgueillir de l’amitié de Serigne Cheikh Tidiane Sy Al Makhtoum. Il était aussi un admirateur de Serigne
Fallou Mbacké et de tous ceux qui ont permis à notre pays de surmonter les épreuves et les lassitudes inévitables de la vie.
Les patrimoines nationaux que sont El Hadj Mansour Mbaye, Adja Khar Mbaye Madiaga et El hadj Barro Diène, sont témoins de ses amitiés et de ses fraternités : Alioune Badara Mbengue, Mbaye-Jacques Diop, Madabo Dieng, El Hadj Diouf, Badara Mbaye, Babacar Ndiaye Ndioro, Ndèye Sokhna Kane, Cheikh Guèye, Moussa Mbaye, Gaye Mohamed, Cheikh Ousmane Diagne, Djibril Dem, Amadou Racine Ndiaye, Atoumane Ndiaye, Natogo
Diagne, Amadou Sam Wagne, Gallo Nguer, Cora Fall…
Liens indéfectibles. Ils sont le symbole de la fraternité. La fraternité pour la dignité de la condition humaine. Et pour reprendre les mots du Président Senghor, « ils ne sont pas morts gratuits. Ils sont les témoins de l’Afrique immortelle, ils sont les témoins du monde nouveau qui sera demain ».
Sportif reconnu, analyste politique hors pair, insoumis, libre, le verbe haut, il fut de tous les combats, de toutes les batailles du Sénégal contemporain. Témoin et acteur. Un homme de son temps ; un homme de courage et de responsabilité.
Pater familias aimant et attentionné, il fut un guide et un repère pour sa famille et ses parents ; un refuge pour les indigents.
Je prenais plaisir à prendre place dans son salon rufisquois, pour l’entendre réciter le Sénégal dans ce qu’il a de singulier, de pluriel et d’universel. J’ai eu le privilège de son affection.
Que Firdaws soit sa demeure éternelle ! Affirme Vipeoples .