Dissolution des partis politiques : une violation des principes démocratiques
ADHA dénonce la dissolution récente de 53 partis politiques, ainsi que la suspension de plusieurs autres formations, qu’elle qualifie de violation flagrante des normes internationales. L’organisation rappelle que ces actions contreviennent à des textes fondamentaux tels que :
• La Charte africaine de la démocratie, des élections et de la gouvernance (CADEG), en particulier ses articles 4 et 10, qui protègent la liberté d’association et la participation politique.
• Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP), garant des droits à la liberté d’expression, de réunion et de participation à la vie publique.
Transition démocratique dans l’impasse
L’opacité persistante autour du calendrier électoral et des réformes constitutionnelles, accentue les doutes sur la volonté du Comité national du rassemblement pour le développement (CNRD) de respecter ses engagements pour une transition rapide et inclusive.
Les appels de l’ADHA
Face à cette situation alarmante, ADHA appelle à des mesures concrètes :
1. Aux autorités guinéennes : respecter les engagements nationaux et internationaux en garantissant les droits fondamentaux des citoyens et en organisant des élections transparentes et inclusives.
2. À la communauté internationale, notamment la CEDEAO et l’Union africaine : renforcer leur accompagnement et leur suivi pour éviter tout dévoiement autoritaire.
3. Au peuple guinéen, en particulier aux jeunes et aux femmes : défendre leurs droits pacifiquement et s’engager activement pour une démocratie stable et inclusive.
La démocratie, socle de la paix et du progrès
ADHA conclut en réaffirmant que la paix et la stabilité en Guinée ne peuvent être assurées que par le respect des droits humains et un processus démocratique transparent. L’organisation reste engagée aux côtés du peuple guinéen, pour soutenir sa quête de justice, de dignité et de progrès.
ADHA dénonce la dissolution récente de 53 partis politiques, ainsi que la suspension de plusieurs autres formations, qu’elle qualifie de violation flagrante des normes internationales. L’organisation rappelle que ces actions contreviennent à des textes fondamentaux tels que :
• La Charte africaine de la démocratie, des élections et de la gouvernance (CADEG), en particulier ses articles 4 et 10, qui protègent la liberté d’association et la participation politique.
• Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP), garant des droits à la liberté d’expression, de réunion et de participation à la vie publique.
Transition démocratique dans l’impasse
L’opacité persistante autour du calendrier électoral et des réformes constitutionnelles, accentue les doutes sur la volonté du Comité national du rassemblement pour le développement (CNRD) de respecter ses engagements pour une transition rapide et inclusive.
Les appels de l’ADHA
Face à cette situation alarmante, ADHA appelle à des mesures concrètes :
1. Aux autorités guinéennes : respecter les engagements nationaux et internationaux en garantissant les droits fondamentaux des citoyens et en organisant des élections transparentes et inclusives.
2. À la communauté internationale, notamment la CEDEAO et l’Union africaine : renforcer leur accompagnement et leur suivi pour éviter tout dévoiement autoritaire.
3. Au peuple guinéen, en particulier aux jeunes et aux femmes : défendre leurs droits pacifiquement et s’engager activement pour une démocratie stable et inclusive.
La démocratie, socle de la paix et du progrès
ADHA conclut en réaffirmant que la paix et la stabilité en Guinée ne peuvent être assurées que par le respect des droits humains et un processus démocratique transparent. L’organisation reste engagée aux côtés du peuple guinéen, pour soutenir sa quête de justice, de dignité et de progrès.