La propriétaire de la Grande Pharmacie dakaroise s’est vu retirer sa licence par le ministère de la Santé et de l'Action sociale.
Pour la soutenir et dénoncer cette décision ministérielle, les pharmaciens privés ont décidé de ne pas vendre des médicaments, ce vendredi, entre 8 h et 15 h.
Selon le docteur Seydou Koulibaly, l’un des responsables du SPPS à Louga, le mot d’ordre de grève a suscité une importante mobilisation des pharmaciens.
‘’Nous avons fait le tour de l’ensemble de la région de Louga, grâce à nos représentants’’, a-t-il dit, soutenant que les pharmaciens privés étaient en grève aussi bien dans la ville de Louga qu’à Guéoul et Ndande (département de Kébemer), Linguère, Dahra et Sagatta.
Selon M. Koulibaly, 99,5 % des pharmacies concernées ont respecté la consigne du syndicat.
‘’Seules deux pharmacies de la région n’ont pas encore suivi le mouvement’’, a-t-il soutenu, précisant que l’évaluation qui sera faite à la fin de la journée, permettra de savoir si elles ont été en grève ou pas.
Le 11 février dernier, le ministre de la Santé et de l'Action sociale a décidé d’abroger l’arrêté autorisant Aïcha Goundiam Mbodji à exploiter la Grande Pharmacie dakaroise, située dans le Plateau, le quartier du centre-ville de Dakar.
Pour protester contre cette décision, le Syndicat des pharmaciens privés du Sénégal a décidé de fermer ses officines, ce vendredi, pendant sept heures.
‘’Aujourd’hui, la principale revendication, c’est qu’on puisse rétablir dans ses droits, une consœur qui a été lésée. C’est malheureux, dans un pays de droit, que des gens qui doivent protéger et réguler (…), bafouent les règles’’, a dénoncé Seydou Koulibaly, de la pharmacie Mame-Sam-Mbaye, à Louga.
‘’La lutte ne fait que commencer’’, et les pharmaciens la mèneront ‘’jusqu’au bout’’, a-t-il prévenu.
M. Koulibaly dit par ailleurs, déplorer les désagréments causés à la clientèle des pharmaciens. ‘’Nous présentons nos excuses à la population (…). Cette grève affecte tout le monde. Nous mènerons ce combat, quel que soit le prix à payer’’, a-t-il dit.
Pour la soutenir et dénoncer cette décision ministérielle, les pharmaciens privés ont décidé de ne pas vendre des médicaments, ce vendredi, entre 8 h et 15 h.
Selon le docteur Seydou Koulibaly, l’un des responsables du SPPS à Louga, le mot d’ordre de grève a suscité une importante mobilisation des pharmaciens.
‘’Nous avons fait le tour de l’ensemble de la région de Louga, grâce à nos représentants’’, a-t-il dit, soutenant que les pharmaciens privés étaient en grève aussi bien dans la ville de Louga qu’à Guéoul et Ndande (département de Kébemer), Linguère, Dahra et Sagatta.
Selon M. Koulibaly, 99,5 % des pharmacies concernées ont respecté la consigne du syndicat.
‘’Seules deux pharmacies de la région n’ont pas encore suivi le mouvement’’, a-t-il soutenu, précisant que l’évaluation qui sera faite à la fin de la journée, permettra de savoir si elles ont été en grève ou pas.
Le 11 février dernier, le ministre de la Santé et de l'Action sociale a décidé d’abroger l’arrêté autorisant Aïcha Goundiam Mbodji à exploiter la Grande Pharmacie dakaroise, située dans le Plateau, le quartier du centre-ville de Dakar.
Pour protester contre cette décision, le Syndicat des pharmaciens privés du Sénégal a décidé de fermer ses officines, ce vendredi, pendant sept heures.
‘’Aujourd’hui, la principale revendication, c’est qu’on puisse rétablir dans ses droits, une consœur qui a été lésée. C’est malheureux, dans un pays de droit, que des gens qui doivent protéger et réguler (…), bafouent les règles’’, a dénoncé Seydou Koulibaly, de la pharmacie Mame-Sam-Mbaye, à Louga.
‘’La lutte ne fait que commencer’’, et les pharmaciens la mèneront ‘’jusqu’au bout’’, a-t-il prévenu.
M. Koulibaly dit par ailleurs, déplorer les désagréments causés à la clientèle des pharmaciens. ‘’Nous présentons nos excuses à la population (…). Cette grève affecte tout le monde. Nous mènerons ce combat, quel que soit le prix à payer’’, a-t-il dit.