Le Coud affirme que ces individus ont perturbé délibérément «le système de contrôle d’accès» aux restaurants universitaires dans le but de décréter un «ngenté toubab» causant ainsi «un énorme préjudice financier et moral» respectivement au Coud et aux étudiants.
La direction considère que le prétexte brandi à savoir le traitement d’un dossier pendant devant la justice, «n’est pas de son ressort», a souligné le document. Dans le communiqué, il est également précisé que «la direction du Coud usera de tous les moyens pour identifier les auteurs et leurs complices d’une part», et saisira, d’autre part, «les autorités universitaires pour des sanctions disciplinaires».
La direction du Coud tient à rappeler que la politique d’assainissement des campus sociaux tant en matière d’hygiène que de sécurité entamée depuis la rentrée universitaire «sera maintenue sans aucune faiblesse».
Ce même mouvement était impliqué dans une bataille rangée avec le mouvement Ndefleng. Cette bagarre avait occasionné un blessé grave en l’occurrence l’étudiant Ousseynou Diémé, qui a fini par succomber à ses blessures le 11 avril 2021, à l’hô¬pital Principal de Dakar où il était interné.
Pour rappel, Ndefleng et Kekendo avaient enterré la hache de guerre après l’intervention des autorités universitaires. Et pourtant avant cette «bataille», les agents du service de sécurité du Coud avaient fait le ména¬ge en récupérant un arse¬nal d’armes blanches dans des chambres d’étudiants.
Bes Bi
La direction considère que le prétexte brandi à savoir le traitement d’un dossier pendant devant la justice, «n’est pas de son ressort», a souligné le document. Dans le communiqué, il est également précisé que «la direction du Coud usera de tous les moyens pour identifier les auteurs et leurs complices d’une part», et saisira, d’autre part, «les autorités universitaires pour des sanctions disciplinaires».
La direction du Coud tient à rappeler que la politique d’assainissement des campus sociaux tant en matière d’hygiène que de sécurité entamée depuis la rentrée universitaire «sera maintenue sans aucune faiblesse».
Ce même mouvement était impliqué dans une bataille rangée avec le mouvement Ndefleng. Cette bagarre avait occasionné un blessé grave en l’occurrence l’étudiant Ousseynou Diémé, qui a fini par succomber à ses blessures le 11 avril 2021, à l’hô¬pital Principal de Dakar où il était interné.
Pour rappel, Ndefleng et Kekendo avaient enterré la hache de guerre après l’intervention des autorités universitaires. Et pourtant avant cette «bataille», les agents du service de sécurité du Coud avaient fait le ména¬ge en récupérant un arse¬nal d’armes blanches dans des chambres d’étudiants.
Bes Bi