«Les versements ne sont pas réguliers. La traçabilité de ces fonds au niveau du Trésor, des Impôts et domaines est un mystère. Quant au fonctionnement du comité de gestion au niveau du ministère de la Justice, nous avons le plus gros nœud à dénouer», a écrit Issa Kamara, Secrétaire général adjoint de l’entité.
Selon lui, «tout se déroule entre quelques mains. Et les travailleurs, dans leur désarroi, n’ont aucun droit de regard ou simplement d’information sur leurs revenus». L’Union nationale des travailleurs de la justice interpelle ainsi le président de la République garant des institutions et son ministre de la Justice, Garde des Sceaux, sur la situation des travailleurs de la justice.
Le secrétaire général adjoint explique que depuis des mois, les travailleurs de l’institution judiciaire vivent une situation dramatique identique à celle d’il y a deux ans. Ils étaient alors restés plus de quatre mois sans percevoir leurs revenus trimestriels. Cette fois-ci, la coïncidence de la Korité a rendu la situation plus que dramatique et certains pères et mères de famille l’ont passée dans le dénuement total».
Et d’ajouter : «Au moment où nous rédigeons ce texte, bon nombre de nos camarades n’ont pas encore perçu leur salaire. En effet, la fin du trimestre consacre aussi les échéances de prêts au niveau des banques et ceux qui reçoivent leur traitement dans le même compte en sont privés, le montant perçu ne pouvant couvrir la dette.»
Pour toutes ces raisons, l’Union nationale des travailleurs de la justice en appelle à la sagesse du président de la République.
Selon lui, «tout se déroule entre quelques mains. Et les travailleurs, dans leur désarroi, n’ont aucun droit de regard ou simplement d’information sur leurs revenus». L’Union nationale des travailleurs de la justice interpelle ainsi le président de la République garant des institutions et son ministre de la Justice, Garde des Sceaux, sur la situation des travailleurs de la justice.
Le secrétaire général adjoint explique que depuis des mois, les travailleurs de l’institution judiciaire vivent une situation dramatique identique à celle d’il y a deux ans. Ils étaient alors restés plus de quatre mois sans percevoir leurs revenus trimestriels. Cette fois-ci, la coïncidence de la Korité a rendu la situation plus que dramatique et certains pères et mères de famille l’ont passée dans le dénuement total».
Et d’ajouter : «Au moment où nous rédigeons ce texte, bon nombre de nos camarades n’ont pas encore perçu leur salaire. En effet, la fin du trimestre consacre aussi les échéances de prêts au niveau des banques et ceux qui reçoivent leur traitement dans le même compte en sont privés, le montant perçu ne pouvant couvrir la dette.»
Pour toutes ces raisons, l’Union nationale des travailleurs de la justice en appelle à la sagesse du président de la République.