Les ménages rencontrent ces dernières semaines quelques difficultés pour trouver du gaz butane. Mais selon les grossistes, le produit est présent sur les magasins de stockage et en quantité suffisante.
Le problème, selon eux, c’est qu’il y a dysfonctionnement dans l’application du principe d’interchangeabilité des bouteilles inscrite dans la convention conclue entre les acteurs du secteur le 19 décembre 2017 et mise à jour en mai 2021.
L’unique responsable de cette situation, accusent les grossistes, c’est Total Energies. «La pénurie ne signifie pas qu’il y a un manque de gaz au Sénégal. Le produit est disponible, font savoir dans les colonnes de Vox Populi les membres de l’Union nationale des grossistes de gaz (UNAGAZ). Les marketeurs ne veulent plus recharger les bouteilles de leurs confrères. (…) Il y a eu des accords, mais Total traîne les pieds et cela dénote d’une volonté manifeste de saboter le marché du gaz.»
L’UNAGAZ ajoute : «A la limite, c’est comme si Total suggérait que chaque ménage ait cinq bouteilles de sorte qu’on en arrive à voir quelle bouteille apporter à la boutique pour la recharge. Et cela n’est pas possible. Il y a dix ans, Total avait 50 000 bouteilles de ses confrères. Aujourd’hui, il n’en garde aucune.»
Les grossistes, qui lui ont adressé trois lettres restées sans suite, invitent l’Etat à prendre des mesures. «Nous sommes en train de nous mobiliser parce que cette situation ne peut plus continuer. Beaucoup de dépôt menacent de tomber en faillite», alertent-ils.
Le problème, selon eux, c’est qu’il y a dysfonctionnement dans l’application du principe d’interchangeabilité des bouteilles inscrite dans la convention conclue entre les acteurs du secteur le 19 décembre 2017 et mise à jour en mai 2021.
L’unique responsable de cette situation, accusent les grossistes, c’est Total Energies. «La pénurie ne signifie pas qu’il y a un manque de gaz au Sénégal. Le produit est disponible, font savoir dans les colonnes de Vox Populi les membres de l’Union nationale des grossistes de gaz (UNAGAZ). Les marketeurs ne veulent plus recharger les bouteilles de leurs confrères. (…) Il y a eu des accords, mais Total traîne les pieds et cela dénote d’une volonté manifeste de saboter le marché du gaz.»
L’UNAGAZ ajoute : «A la limite, c’est comme si Total suggérait que chaque ménage ait cinq bouteilles de sorte qu’on en arrive à voir quelle bouteille apporter à la boutique pour la recharge. Et cela n’est pas possible. Il y a dix ans, Total avait 50 000 bouteilles de ses confrères. Aujourd’hui, il n’en garde aucune.»
Les grossistes, qui lui ont adressé trois lettres restées sans suite, invitent l’Etat à prendre des mesures. «Nous sommes en train de nous mobiliser parce que cette situation ne peut plus continuer. Beaucoup de dépôt menacent de tomber en faillite», alertent-ils.