Des journaux ont rapporté l’information selon laquelle, Mamadou Thiam, le Chargé de la communication de la présidence de la République, qui accompagnait le chef de l’Etat dans sa tournée économique à Fatick, aurait été appréhendé par des vigiles en train de fumer du chanvre indien. Il aurait ensuite été relâché grâce à l’intervention des hautes autorités. Une information que l’intéressé a vigoureusement démentie. « Ceux qui ont distillé ces fausses informations savent que rien de tout cela ne s’est passé. Il s’agit, là, de pures allégations », s’est-il défendu.
Cette énième frasque dans la galaxie présidentielle intervient deux jours seulement après le scandale Tamsir Faye, du nom du Consul général du Sénégal à Marseille. Arrêté par la brigade anti-criminelle (Bac) de Marseille, puis relâché à la faveur de son immunité diplomatique, on lui reproche d’avoir publiquement exhibé son sexe, alors qu’il était en état d’ivresse, d’avoir insulté les policiers venus procéder à sa conduite au commissariat et, en même temps, de les avoir menacés de mort. C’est sur dénonciation des riverains que la police marseillaise était intervenue pour procéder à son arrestation ratée. Mais là aussi, le mis en cause, qui a été relevé de ses fonctions et prié de plier bagages, nie tout en bloc. Il affirme être victime de « racisme » et annonce une plainte contre la police marseillaise.
Et, avant ces deux affaires, d’autres frasques ont éclaboussé l’entourage du chef de l’Etat. « Je rappelle au souvenir de tous, que des accusations aussi graves avaient été portées contre le ministre des affaires étrangères du Sénégal (Mankeur Ndiaye : Ndlr) », affirme Souleymane Jules Diop, le Secrétaire aux Sénégalais de l’extérieur sur sa page Facebook.
Mais, il n’y a pas que ces frasques qui accompagnent le magistère du Président Macky Sall. On se souvient aussi de la violente bagarre, au Palais présidentiel, qui avait opposé le député Farba Ngom au responsable « apériste » Birame Faye. Mais, l’affaire la plus rocambolesque qui a marqué les trois années de Macky Sall est sans doute le kidnapping à Ogo, dans la région de Matam, d’un mandataire de l’Apr par une frange rivale du parti, lors des dernières élections locales. Ancien ministre des Télécommunications, Abou Lô avait été cité dans le rapt de Alassane Niane, kidnappé le 29 avril peu avant minuit au moment où il allait déposer la liste de l’Apr.
Cette énième frasque dans la galaxie présidentielle intervient deux jours seulement après le scandale Tamsir Faye, du nom du Consul général du Sénégal à Marseille. Arrêté par la brigade anti-criminelle (Bac) de Marseille, puis relâché à la faveur de son immunité diplomatique, on lui reproche d’avoir publiquement exhibé son sexe, alors qu’il était en état d’ivresse, d’avoir insulté les policiers venus procéder à sa conduite au commissariat et, en même temps, de les avoir menacés de mort. C’est sur dénonciation des riverains que la police marseillaise était intervenue pour procéder à son arrestation ratée. Mais là aussi, le mis en cause, qui a été relevé de ses fonctions et prié de plier bagages, nie tout en bloc. Il affirme être victime de « racisme » et annonce une plainte contre la police marseillaise.
Et, avant ces deux affaires, d’autres frasques ont éclaboussé l’entourage du chef de l’Etat. « Je rappelle au souvenir de tous, que des accusations aussi graves avaient été portées contre le ministre des affaires étrangères du Sénégal (Mankeur Ndiaye : Ndlr) », affirme Souleymane Jules Diop, le Secrétaire aux Sénégalais de l’extérieur sur sa page Facebook.
Mais, il n’y a pas que ces frasques qui accompagnent le magistère du Président Macky Sall. On se souvient aussi de la violente bagarre, au Palais présidentiel, qui avait opposé le député Farba Ngom au responsable « apériste » Birame Faye. Mais, l’affaire la plus rocambolesque qui a marqué les trois années de Macky Sall est sans doute le kidnapping à Ogo, dans la région de Matam, d’un mandataire de l’Apr par une frange rivale du parti, lors des dernières élections locales. Ancien ministre des Télécommunications, Abou Lô avait été cité dans le rapt de Alassane Niane, kidnappé le 29 avril peu avant minuit au moment où il allait déposer la liste de l’Apr.