Macky Sall soutient qu’au cours de son mandat, il s’est efforcé à soutenir le règlement des différends et accompagner les transitions politiques, avec l’appui de la Commission, et des Communautés économiques et mécanismes régionaux. Force est de constater que la pacification du continent reste encore un objectif à atteindre.
«J’appelle instamment à la mise en œuvre des engagements du Sommet extraordinaire de Malabo de mai 2022 ; à savoir, rendre opérationnelle la Force africaine en attente, créer une Unité de lutte contre le terrorisme et financer de façon plus conséquente et plus prévisible nos efforts de lutte contre ce fléau », a plaidé le président Sall.
Il a indiqué que cette lutte, relève aussi de la responsabilité du Conseil de Sécurité, garant du mécanisme de sécurité collective ; parce que l’avancée du terrorisme en Afrique est une menace à la paix et à la sécurité internationales. Comme il l’a fait ailleurs, poursuit le chef de l’Etat, le Conseil doit mieux s’engager dans la lutte contre le terrorisme en Afrique, avec des mandats plus robustes et un financement plus adéquat.
En tout état de cause, le défi de la paix, de la sécurité et de la stabilité du continent nous engage à déposer les armes, et à trouver des solutions pacifiques à nos différends afin de mieux nous consacrer aux tâches de développement économique et social.
Selon Macky Sall, avec la reconfiguration géopolitique du monde, une opportunité historique s’offre à nous de fermer l’ère de l’Afrique des problèmes et ouvrir la voie de l’Afrique des solutions.
«Nous en avons tout le potentiel ; parce qu’un continent de 30 millions de Km², plus d’un milliard trois cents millions d’habitants, doté en abondance de toutes sortes de ressources, ne peut être condamné à rester à la traine du monde. L’émergence de l’Afrique est à notre portée.
Mais pour y arriver, nous devons accorder plus de temps à l’agenda pour le développement économique et social du continent », a déclaré M. Sall. Selon lui, l’Afrique que nous voulons, c’est aussi une Afrique qui réfléchit par et pour elle-même ; une Afrique qui sait ce qu’elle veut et ce qu’elle vaut ; une Afrique pleinement intégrée dans la gouvernance mondiale, et qui s’engage avec ses partenaires dans une éthique relationnelle réinventée, fondée sur des partenariats co-construits et respectueux de la diversité des valeurs de cultures et de civilisations.
Macky Sall soutient que c’est le plaidoyer qu’il a porté en votre nom au 6ème Sommet Europe-Afrique de Bruxelles, au Conseil de l’OCDE à Paris, au Sommet du G7 d’Elmau, à la Ticad 8 de Tunis, à l’Assemblée générale des Nations Unies, à la COP 27 de Sharm El Sheikh, au Sommet du G20 de Bali et au 2ème Sommet Etats-Unis- Afrique à Washington.
«A toutes ces étapes, j’ai réaffirmé qu’en ces temps de mutations profondes, travailler ensemble requiert une autre façon de penser le monde, une autre façon d’agir entre partenaires respectueux de leurs valeurs communes et de leurs différences. Sur la gouvernance mondiale, il est clair que la réforme du Conseil de Sécurité ne connait pas encore d’évolution significative », a rappelé Macky Sall.
Adou FAYE
«J’appelle instamment à la mise en œuvre des engagements du Sommet extraordinaire de Malabo de mai 2022 ; à savoir, rendre opérationnelle la Force africaine en attente, créer une Unité de lutte contre le terrorisme et financer de façon plus conséquente et plus prévisible nos efforts de lutte contre ce fléau », a plaidé le président Sall.
Il a indiqué que cette lutte, relève aussi de la responsabilité du Conseil de Sécurité, garant du mécanisme de sécurité collective ; parce que l’avancée du terrorisme en Afrique est une menace à la paix et à la sécurité internationales. Comme il l’a fait ailleurs, poursuit le chef de l’Etat, le Conseil doit mieux s’engager dans la lutte contre le terrorisme en Afrique, avec des mandats plus robustes et un financement plus adéquat.
En tout état de cause, le défi de la paix, de la sécurité et de la stabilité du continent nous engage à déposer les armes, et à trouver des solutions pacifiques à nos différends afin de mieux nous consacrer aux tâches de développement économique et social.
Selon Macky Sall, avec la reconfiguration géopolitique du monde, une opportunité historique s’offre à nous de fermer l’ère de l’Afrique des problèmes et ouvrir la voie de l’Afrique des solutions.
«Nous en avons tout le potentiel ; parce qu’un continent de 30 millions de Km², plus d’un milliard trois cents millions d’habitants, doté en abondance de toutes sortes de ressources, ne peut être condamné à rester à la traine du monde. L’émergence de l’Afrique est à notre portée.
Mais pour y arriver, nous devons accorder plus de temps à l’agenda pour le développement économique et social du continent », a déclaré M. Sall. Selon lui, l’Afrique que nous voulons, c’est aussi une Afrique qui réfléchit par et pour elle-même ; une Afrique qui sait ce qu’elle veut et ce qu’elle vaut ; une Afrique pleinement intégrée dans la gouvernance mondiale, et qui s’engage avec ses partenaires dans une éthique relationnelle réinventée, fondée sur des partenariats co-construits et respectueux de la diversité des valeurs de cultures et de civilisations.
Macky Sall soutient que c’est le plaidoyer qu’il a porté en votre nom au 6ème Sommet Europe-Afrique de Bruxelles, au Conseil de l’OCDE à Paris, au Sommet du G7 d’Elmau, à la Ticad 8 de Tunis, à l’Assemblée générale des Nations Unies, à la COP 27 de Sharm El Sheikh, au Sommet du G20 de Bali et au 2ème Sommet Etats-Unis- Afrique à Washington.
«A toutes ces étapes, j’ai réaffirmé qu’en ces temps de mutations profondes, travailler ensemble requiert une autre façon de penser le monde, une autre façon d’agir entre partenaires respectueux de leurs valeurs communes et de leurs différences. Sur la gouvernance mondiale, il est clair que la réforme du Conseil de Sécurité ne connait pas encore d’évolution significative », a rappelé Macky Sall.
Adou FAYE
Source : https://www.lejecos.com/Force-africaine-en-attente...