Le montant des flux de financements publics internationaux a diminué de près de 24 % par rapport à l’année précédente, une baisse qui pourrait être accentuée par la pandémie en 2020. De manière générale, le niveau de financement reste inférieur à ce qui est nécessaire pour atteindre l’ODD 7, en particulier dans les pays les plus vulnérables et les moins avancés.
Une baisse a été observée dans la plupart des régions, à la seule exception de l’Océanie, où les flux publics internationaux ont augmenté de 72 %. Les baisses ont été essentiellement constatées en Asie de l’Est et du Sud-Est (- 66,2 %), en Amérique latine et dans les Caraïbes (- 29,8 %) et en Asie centrale et du Sud (- 24,5 %).
Même si les investissements dans les énergies renouvelables proviennent essentiellement du secteur privé, les financements publics restent fondamentaux pour attirer des capitaux privés, notamment pour créer un environnement propice aux investissements privés, développer les infrastructures nécessaires et s’attaquer aux risques et obstacles supposés et réels pour les investissements en faveur de la transition énergétique.
Les flux publics internationaux vers les pays qui n’ont pas les ressources financières suffisantes pour soutenir leurs transitions énergétiques constituent une grande partie de la collaboration internationale qui sera nécessaire pour assurer une transition énergétique mondiale susceptible de permettre au monde d’atteindre tous les ODD.
Indicateurs et données permettant de suivre les progrès
Le suivi des progrès mondiaux pour les cibles de l’ODD 7 nécessite des données de grande qualité, comparables et fiables pour permettre une prise de décisions éclairée et efficace aux niveaux mondial, régional et national. La coopération nationale et internationale et la mise en œuvre de solides capacités statistiques ont permis des progrès en matière de qualité des données.
En établissant des cadres juridiques et des arrangements institutionnels pour une collecte de données exhaustives sur l’équilibre entre l’offre et la demande d’énergie, en élaborant des enquêtes auprès des utilisateurs finaux (p. ex., ménages, entreprises, etc.) et mettant en place des cadres d’assurance qualité, les pays améliorent leurs systèmes nationaux de données.
Cependant, compte tenu du ralentissement du rythme des progrès vers l’ODD 7 du fait de la pandémie, il est nécessaire d’investir davantage dans des statistiques de qualité pour faire un état des lieux et déterminer comment repartir sur la bonne voie. C’est particulièrement important pour que les pays en développement, en particulier les pays les moins avancés, puissent définir des politiques et stratégies énergétiques nationales éclairées afin de veiller à ne laisser personne sur le côté.
Une baisse a été observée dans la plupart des régions, à la seule exception de l’Océanie, où les flux publics internationaux ont augmenté de 72 %. Les baisses ont été essentiellement constatées en Asie de l’Est et du Sud-Est (- 66,2 %), en Amérique latine et dans les Caraïbes (- 29,8 %) et en Asie centrale et du Sud (- 24,5 %).
Même si les investissements dans les énergies renouvelables proviennent essentiellement du secteur privé, les financements publics restent fondamentaux pour attirer des capitaux privés, notamment pour créer un environnement propice aux investissements privés, développer les infrastructures nécessaires et s’attaquer aux risques et obstacles supposés et réels pour les investissements en faveur de la transition énergétique.
Les flux publics internationaux vers les pays qui n’ont pas les ressources financières suffisantes pour soutenir leurs transitions énergétiques constituent une grande partie de la collaboration internationale qui sera nécessaire pour assurer une transition énergétique mondiale susceptible de permettre au monde d’atteindre tous les ODD.
Indicateurs et données permettant de suivre les progrès
Le suivi des progrès mondiaux pour les cibles de l’ODD 7 nécessite des données de grande qualité, comparables et fiables pour permettre une prise de décisions éclairée et efficace aux niveaux mondial, régional et national. La coopération nationale et internationale et la mise en œuvre de solides capacités statistiques ont permis des progrès en matière de qualité des données.
En établissant des cadres juridiques et des arrangements institutionnels pour une collecte de données exhaustives sur l’équilibre entre l’offre et la demande d’énergie, en élaborant des enquêtes auprès des utilisateurs finaux (p. ex., ménages, entreprises, etc.) et mettant en place des cadres d’assurance qualité, les pays améliorent leurs systèmes nationaux de données.
Cependant, compte tenu du ralentissement du rythme des progrès vers l’ODD 7 du fait de la pandémie, il est nécessaire d’investir davantage dans des statistiques de qualité pour faire un état des lieux et déterminer comment repartir sur la bonne voie. C’est particulièrement important pour que les pays en développement, en particulier les pays les moins avancés, puissent définir des politiques et stratégies énergétiques nationales éclairées afin de veiller à ne laisser personne sur le côté.