L’aéroport de Ziguinchor fermé pour des travaux de réhabilitation, un renforcement de la sécurité s’impose désormais le long de l’axe qui sépare Ziguinchor au Cap Skirring qui abrite désormais le seul aéroport fonctionnel qui assure la déserte aérienne dans la région sud. Les 70 km qui séparent les deux villes seront désormais plus fréquentés par les populations qui empruntent les vols. Un axe routier certes pacifié depuis mais qui a été jadis zone de prédilection des bandes armées surtout à hauteur de Djibelor. Des scènes de braquages perpétrés par des individus armés y étaient notées dans le passé. Toute chose qui impose de prendre des dispositions sécuritaires nécessaires pour éviter toute surprise.
D’abord, pour protéger les touristes qui débarquent au Cap Skirring et qui comptent rallier Ziguinchor et les autres localités du département de Bignona et ensuite, pour assurer une sécurité maximale des populations qui débarqueront de l’aéroport du Cap Skirring. Certes, la compagnie Sénégal Air a affrété des bus pour assurer la déserte vers l’aéroport en question mais renforcer la sécurité sur cet axe pour extirper toutes velléités de forfait, urge.
Des «bandits» qui ont l’habitude de semer le trouble pourraient profiter de cette nouvelle situation pour semer le trouble sur cet axe routier comme cette attaque armée perpétrée dans le pont de Niabalang qui avait été dynamité par des individus armés. Suffisant pour alerter sur l’urgence de mesures sécuritaires sur cet axe routier. Beaucoup s’interrogent encore sur les raisons pertinentes qui sont à l’origine de la fermeture de cet aéroport car la seule raison d’une couche d’enduit du rayon de 50 cm tombée est encore légère pour prendre une telle décision. La dégradation de l’état de la piste n’a pas empêché les compagnies d’atterrir à Ziguinchor.
L’explication d’une réhabilitation totale de l’aérogare, de la piste pourrait bien conforter sa fermeture mais aujourd’hui, cette décision est perçue comme un coup de massue pour de nombreux Ziguinchorois obligés de parcourir 70 km pour trouver un vol. Délocaliser toutes les activités aéroportuaires vers le Cap Skirring, le temps de mettre l’aéroport de Ziguinchor aux normes internationales, est certes bien mais une telle décision avec des mesures d’accompagnement est encore mieux, soulignent les populations de Ziguinchor.
SudQuotidien
D’abord, pour protéger les touristes qui débarquent au Cap Skirring et qui comptent rallier Ziguinchor et les autres localités du département de Bignona et ensuite, pour assurer une sécurité maximale des populations qui débarqueront de l’aéroport du Cap Skirring. Certes, la compagnie Sénégal Air a affrété des bus pour assurer la déserte vers l’aéroport en question mais renforcer la sécurité sur cet axe pour extirper toutes velléités de forfait, urge.
Des «bandits» qui ont l’habitude de semer le trouble pourraient profiter de cette nouvelle situation pour semer le trouble sur cet axe routier comme cette attaque armée perpétrée dans le pont de Niabalang qui avait été dynamité par des individus armés. Suffisant pour alerter sur l’urgence de mesures sécuritaires sur cet axe routier. Beaucoup s’interrogent encore sur les raisons pertinentes qui sont à l’origine de la fermeture de cet aéroport car la seule raison d’une couche d’enduit du rayon de 50 cm tombée est encore légère pour prendre une telle décision. La dégradation de l’état de la piste n’a pas empêché les compagnies d’atterrir à Ziguinchor.
L’explication d’une réhabilitation totale de l’aérogare, de la piste pourrait bien conforter sa fermeture mais aujourd’hui, cette décision est perçue comme un coup de massue pour de nombreux Ziguinchorois obligés de parcourir 70 km pour trouver un vol. Délocaliser toutes les activités aéroportuaires vers le Cap Skirring, le temps de mettre l’aéroport de Ziguinchor aux normes internationales, est certes bien mais une telle décision avec des mesures d’accompagnement est encore mieux, soulignent les populations de Ziguinchor.
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