La tension internationale sur les hydrocarbures, une des conséquences fâcheuses de l’intervention russe en Ukraine, commence à gagner les frontières sénégalaises. Premier à être touché par cette situation très délicate du reste, le secteur de l’aviation ressent déjà les contrecoups, avec des impacts graves sur la disponibilité du kérosène.
La Société de Manutention de Carburants Aviation (SMCADY) annonce deux semaines « d’indisponibilité de carburant aviation (Kérosène) ». Ceci, à compter du mercredi 20 avril 2022 à 12 heures.
Ainsi, alerte le directeur de la SMCADY, Baye Momar Kébé, « pour des raisons d’indisponibilité de carburant aviation (kérosène) à l’aéroport international Blaise Diagne de Diass, les opérations d’avitaillement des aéronefs ne pourront plus se poursuivre ». Par conséquent, les avions, qui transitent à Dakar, devront faire leurs opérations d’avitaillement dans les pays de la sous-région qui ne sont pas encore touchés par la rareté du kérosène.
Ce qui ne sera pas sans conséquences sur le taux de fréquentation de l’aéroport international Blaise Diagne de Diass, hub aérien sous-régional avec 3 millions de passagers, 80 000 mouvements d’avions commerciaux par an et plus de 300 destinations. Celui-ci (le taux de fréquentation) en sera, à coup sûr, affecté.
La Société de Manutention de Carburants Aviation (SMCADY) annonce deux semaines « d’indisponibilité de carburant aviation (Kérosène) ». Ceci, à compter du mercredi 20 avril 2022 à 12 heures.
Ainsi, alerte le directeur de la SMCADY, Baye Momar Kébé, « pour des raisons d’indisponibilité de carburant aviation (kérosène) à l’aéroport international Blaise Diagne de Diass, les opérations d’avitaillement des aéronefs ne pourront plus se poursuivre ». Par conséquent, les avions, qui transitent à Dakar, devront faire leurs opérations d’avitaillement dans les pays de la sous-région qui ne sont pas encore touchés par la rareté du kérosène.
Ce qui ne sera pas sans conséquences sur le taux de fréquentation de l’aéroport international Blaise Diagne de Diass, hub aérien sous-régional avec 3 millions de passagers, 80 000 mouvements d’avions commerciaux par an et plus de 300 destinations. Celui-ci (le taux de fréquentation) en sera, à coup sûr, affecté.