Les syndicalistes estiment que face aux nombreux scandales, les travailleurs refusent d’être les agneaux du sacrifice et rejettent catégoriquement les mesures antisociales arrêtées par le top management dans le seul but de les remplacer frauduleusement par des prestataires de service.
«Non content d’avoir enclenché une procédure de licenciement collectif de travailleurs pour des difficultés économiques, le top management foule aux pieds la loi en licenciant abusivement une trentaine de travailleurs par l’entremise d’un huissier de justice commis sur la base de fausses allégations. La notification de sanction infligée aux travailleurs pour une participation à une manifestation syndicale plonge Expresso dans une crise profonde, comme si les travailleurs n’avaient pas le droit de manifester leur mécontentement à travers des pancartes», déplore l’Unsas.
La même source souligne que dans l’exposé des motifs que l’huissier a servi, il n’est apparu nulle part un acte que l’on peut qualifier de voie de fait ; au contraire, c’est la direction qui a enfreint un droit fondamental consacré par la Constitution qui reconnait aux travailleurs le droit de manifester, poursuit l'Unsas.
«La direction d’Expresso Sénégal se fiche pas mal de nos Institutions, pour preuve, de bonnes volontés se sont levées pour offrir leurs services aux deux parties, afin de décanter la crise sociale qui sévit dans la boîte, parmi lesquelles il convient de citer le Secrétaire général du ministère des Télécoms et du numérique, ainsi que le Directeur chargé des affaires juridiques de l’Artp qui ont pesé de tout leur poids pour convaincre les travailleurs à surseoir leur plan d’action.
Mais, contre toute attente, la Direction générale a rompu le dialogue, se radicalise et inflige des sanctions arbitraires à trente travailleurs dont le seul tort est de dire non à l’injustice», dénonce l’Unsas. Après avoir observé jusqu’ici le déroulement de ce conflit, l’Unsas lance une alerte aux autorités et compte mobiliser ses troupes pour stopper les dérives de la direction d’Expresso..
«Non content d’avoir enclenché une procédure de licenciement collectif de travailleurs pour des difficultés économiques, le top management foule aux pieds la loi en licenciant abusivement une trentaine de travailleurs par l’entremise d’un huissier de justice commis sur la base de fausses allégations. La notification de sanction infligée aux travailleurs pour une participation à une manifestation syndicale plonge Expresso dans une crise profonde, comme si les travailleurs n’avaient pas le droit de manifester leur mécontentement à travers des pancartes», déplore l’Unsas.
La même source souligne que dans l’exposé des motifs que l’huissier a servi, il n’est apparu nulle part un acte que l’on peut qualifier de voie de fait ; au contraire, c’est la direction qui a enfreint un droit fondamental consacré par la Constitution qui reconnait aux travailleurs le droit de manifester, poursuit l'Unsas.
«La direction d’Expresso Sénégal se fiche pas mal de nos Institutions, pour preuve, de bonnes volontés se sont levées pour offrir leurs services aux deux parties, afin de décanter la crise sociale qui sévit dans la boîte, parmi lesquelles il convient de citer le Secrétaire général du ministère des Télécoms et du numérique, ainsi que le Directeur chargé des affaires juridiques de l’Artp qui ont pesé de tout leur poids pour convaincre les travailleurs à surseoir leur plan d’action.
Mais, contre toute attente, la Direction générale a rompu le dialogue, se radicalise et inflige des sanctions arbitraires à trente travailleurs dont le seul tort est de dire non à l’injustice», dénonce l’Unsas. Après avoir observé jusqu’ici le déroulement de ce conflit, l’Unsas lance une alerte aux autorités et compte mobiliser ses troupes pour stopper les dérives de la direction d’Expresso..