Doudou Kâ, l’Administrateur Général du Fonds de garantie des investissements prioritaires (Fongip) qui ne s’est pas contenté de l’appui de l’institution d’une enveloppe globale de 3 millions CFa au promoteur Emmanuel Diouf et aux femmes productrices, a rendu visite à ces acteurs qui s’investissent dans la transformation et la valorisation des produits de la Casamance. C’était à la foire de promotion des produits casamançais.
Très pragmatique, Doudou Kâ qui a été devancé de 24 heures sur les lieux par un ballet de responsables politiques de la Casamance dont le maire de Ziguinchor, Abdoulaye Baldé, n’a pas voulu entretenir de polémique. Il est passé à son tour avec un appui personnel de 500 mille CFa, remis aux productrices qu’il a rassurées. Au leader de l’UCS qui se disait sûr et certain, qu’à la suite de sa visite rendue aux participantes à la foire, d’autres responsables politiques marcheront sur ses traces ; allusion faite au passage de Doudou Kâ dont la réaction cinglante n’a été que courte et définitive en ces termes : « Je ne suis pas venu pour une balade politicienne ».
Les femmes du Sud qui veulent que le riz de la Casamance soit aussi compétitif que celui de la Vallée, sollicitent l’appui de l’Etat. Au patron du Fongip, les productrices ont confié ceci : « Nous produisons du riz. Mais le riz de la Vallée attire mieux que le nôtre. Il nous faut du matériel. Nous transformons ce riz manuellement. » Cette déclaration de Ndèye Doumbia, présidente du Réseau Sobéya de Sédhiou, sonne comme un cri de détresse de braves femmes transformatrices des produits de la Casamance. Elles veulent entreprendre, mais restent piégées par un déficit de soutien de l’Etat. De quoi atteindre la fibre sensible de Doudou Kâ.
Le patron du Fongip a du coup rassuré les femmes quant à l’engagement de l’institution à les accompagner. Déjà , à l’initiative du Fongip, deux rizeries sont en construction dans la région de Ziguinchor. Des localités de Anambé et de Bignona ayant disposé depuis de rizeries d’un montant de plus de 600 millions CFa pour permettre au riz de la Casamance d’être compétitif.
La conviction de Doudou Kâ est que la Casamance doit jouer un rôle déterminant dans le développement du pays parce que selon lui, la région naturelle doit réaliser 40% de l’autosuffisance alimentaire que le président Macky Sall s’est fixé comme objectif à atteindre en 2017. Dans l’immédiat, il y a des défis à relever. Parmi ces défis, le soutien des productrices qui passe par le défi du conditionnement et de l’emballage auquel le Fongip va apporter des réponses.
Très pragmatique, Doudou Kâ qui a été devancé de 24 heures sur les lieux par un ballet de responsables politiques de la Casamance dont le maire de Ziguinchor, Abdoulaye Baldé, n’a pas voulu entretenir de polémique. Il est passé à son tour avec un appui personnel de 500 mille CFa, remis aux productrices qu’il a rassurées. Au leader de l’UCS qui se disait sûr et certain, qu’à la suite de sa visite rendue aux participantes à la foire, d’autres responsables politiques marcheront sur ses traces ; allusion faite au passage de Doudou Kâ dont la réaction cinglante n’a été que courte et définitive en ces termes : « Je ne suis pas venu pour une balade politicienne ».
Les femmes du Sud qui veulent que le riz de la Casamance soit aussi compétitif que celui de la Vallée, sollicitent l’appui de l’Etat. Au patron du Fongip, les productrices ont confié ceci : « Nous produisons du riz. Mais le riz de la Vallée attire mieux que le nôtre. Il nous faut du matériel. Nous transformons ce riz manuellement. » Cette déclaration de Ndèye Doumbia, présidente du Réseau Sobéya de Sédhiou, sonne comme un cri de détresse de braves femmes transformatrices des produits de la Casamance. Elles veulent entreprendre, mais restent piégées par un déficit de soutien de l’Etat. De quoi atteindre la fibre sensible de Doudou Kâ.
Le patron du Fongip a du coup rassuré les femmes quant à l’engagement de l’institution à les accompagner. Déjà , à l’initiative du Fongip, deux rizeries sont en construction dans la région de Ziguinchor. Des localités de Anambé et de Bignona ayant disposé depuis de rizeries d’un montant de plus de 600 millions CFa pour permettre au riz de la Casamance d’être compétitif.
La conviction de Doudou Kâ est que la Casamance doit jouer un rôle déterminant dans le développement du pays parce que selon lui, la région naturelle doit réaliser 40% de l’autosuffisance alimentaire que le président Macky Sall s’est fixé comme objectif à atteindre en 2017. Dans l’immédiat, il y a des défis à relever. Parmi ces défis, le soutien des productrices qui passe par le défi du conditionnement et de l’emballage auquel le Fongip va apporter des réponses.