Interrogé sur les suspicions relatives aux manœuvres du pouvoir visant à coupler la Présidentielle avec les Législatives, le leader de Taxawu Sénégal, apparemment favorable à cette éventualité, répond.
«Jusqu’en 1992, la Présidentielle était couplée avec les Législatives. L’électeur choisissait deux bulletins. C’est avec le Code consensuel de 1992, à la demande de l’opposition, que ces élections ont été séparées. Le slogan se résumait ainsi : nous avons élu notre Président, donnons-lui aussi la majorité. A l’époque, l’opposition avait pensé que le couplage des scrutins n’était pas à son avantage. Alors, ce qui est proposé tend à revenir sur ça. Donc, il faudra qu’on évalue».
Selon toujours le journal, Khalifa Sall s’est aussi penché sur la faisabilité de la proposition : «On est en train d’échanger sur la dissolution de l’Assemblée. Mais ce n’est pas position ni celle de Taxawu. On est en train de consulter nos députés parce que c’est un projet de loi, et on doit les convaincre que ce n’est pas dirigé contre eux».
«Jusqu’en 1992, la Présidentielle était couplée avec les Législatives. L’électeur choisissait deux bulletins. C’est avec le Code consensuel de 1992, à la demande de l’opposition, que ces élections ont été séparées. Le slogan se résumait ainsi : nous avons élu notre Président, donnons-lui aussi la majorité. A l’époque, l’opposition avait pensé que le couplage des scrutins n’était pas à son avantage. Alors, ce qui est proposé tend à revenir sur ça. Donc, il faudra qu’on évalue».
Selon toujours le journal, Khalifa Sall s’est aussi penché sur la faisabilité de la proposition : «On est en train d’échanger sur la dissolution de l’Assemblée. Mais ce n’est pas position ni celle de Taxawu. On est en train de consulter nos députés parce que c’est un projet de loi, et on doit les convaincre que ce n’est pas dirigé contre eux».