Ousmane Sonko a été condamné à deux ans de prison pour corruption de la jeunesse par la chambre criminelle, le 1er juin dernier dans le dossier «Adji Sarr». Auparavant, le leader des Patriotes a été condamné en appel à six mois de prison avec sursis dans l’affaire l’opposant au ministre Mame Mbaye Niang. Si aujourd’hui, certains émettent de réels doutes sur son éligibilité, Pastef prépare activement le scrutin présidentiel de février prochain, relate L'As.
«Nous restons sur le terrain politique. Rien n’empêchera la participation du président Ousmane Sonko à la prochaine élection présidentielle. C’est très clair», tranche le secrétaire national à la communication de Pastef, El Hadji Malick Ndiaye qui était invité hier dans l’émission Jury du dimanche (Jdd) sur «iRadio».
A l’en croire, il n’y a aucune autre alternative pour la formation patriote. «S’il plait au Bon Dieu, Ousmane Sonko participera à la prochaine élection présidentielle. Ce n’est pas avec ces deux procès fantoches (contre Mame Mbaye Niang et Adji Sarr) qu’il va perdre ses droits civiques», a déclaré El Hadji Malick Ndiaye qui informe que Pastef est en train de préparer la pré-campagne et la campagne pour l’échéance électorale prévue le 25 février 2024. Interpellé sur la décision de réviser le procès de Karim Wade, il répond : «On n’a pas grand chose à dire là -dessus. Monsieur Karim Wade a toujours demandé la révision de son procès. Maintenant, est-ce qu’ils vont le faire ou pas ? Très franchement, cela ne nous regarde pas. Ce qui importe pour nous, c’est d’abord, des élections libres et transparentes, ensuite la participation du président Ousmane Sonko et enfin, la non-participation du Président Macky Sall ».
Par ailleurs, El Hadji Malick Ndiaye indique qu’à chaque fois que le Président Macky Sall est dans une mauvaise posture, il initie un dialogue pour régler des choses entre quelques acteurs politiques. D’ailleurs, il dit ne pas comprendre qu’on appelle à des concertations alors qu’au même moment son leader est persécuté. «Son procès dans l’affaire Sweet Beauté a été fixé durant cette période-là . On ne négocie pas avec une arme sur la tempe», souligne-t-il. A travers ce dialogue, il estime qu’il y a une volonté de la mouvance présidentielle d’imposer des décisions déjà prises. «L’actuel régime veut juste amuser la galerie à travers un dialogue. Nous ne participerons jamais à ce type de farce», fulmine-t-il.
Selon le chargé de communication de Pastef, le Président Sall avait une commande à livrer. La preuve, l’exemple sur le parrainage est très édifiant. «Le fait de se faire parrainer par des élus lui donne encore la latitude de garder le clair-obscur jusqu’au 12 décembre 2023. Si c’était le parrainage par des citoyens, il devait collecter des parrains à partir du mois de juillet ou août au plus tard. Dans ce cas, le peuple sera édifié sur sa participation ou non à la prochaine présidentielle (25 février 2024)», renseigne El Hadji Malick Ndiaye avant de marteler que le chef de l’Etat ne fait rien pour rien et qu’il aura la possibilité de se faire parrainer par des élus, un minima de 13 élus. «Pour nous, cela fait partie des problèmes qu’il voulait régler. Les Sénégalais l’attendaient au tournant, mais il a réussi à retarder l’échéance», indique ElHadji Malick Ndiaye.
«Nous restons sur le terrain politique. Rien n’empêchera la participation du président Ousmane Sonko à la prochaine élection présidentielle. C’est très clair», tranche le secrétaire national à la communication de Pastef, El Hadji Malick Ndiaye qui était invité hier dans l’émission Jury du dimanche (Jdd) sur «iRadio».
A l’en croire, il n’y a aucune autre alternative pour la formation patriote. «S’il plait au Bon Dieu, Ousmane Sonko participera à la prochaine élection présidentielle. Ce n’est pas avec ces deux procès fantoches (contre Mame Mbaye Niang et Adji Sarr) qu’il va perdre ses droits civiques», a déclaré El Hadji Malick Ndiaye qui informe que Pastef est en train de préparer la pré-campagne et la campagne pour l’échéance électorale prévue le 25 février 2024. Interpellé sur la décision de réviser le procès de Karim Wade, il répond : «On n’a pas grand chose à dire là -dessus. Monsieur Karim Wade a toujours demandé la révision de son procès. Maintenant, est-ce qu’ils vont le faire ou pas ? Très franchement, cela ne nous regarde pas. Ce qui importe pour nous, c’est d’abord, des élections libres et transparentes, ensuite la participation du président Ousmane Sonko et enfin, la non-participation du Président Macky Sall ».
Par ailleurs, El Hadji Malick Ndiaye indique qu’à chaque fois que le Président Macky Sall est dans une mauvaise posture, il initie un dialogue pour régler des choses entre quelques acteurs politiques. D’ailleurs, il dit ne pas comprendre qu’on appelle à des concertations alors qu’au même moment son leader est persécuté. «Son procès dans l’affaire Sweet Beauté a été fixé durant cette période-là . On ne négocie pas avec une arme sur la tempe», souligne-t-il. A travers ce dialogue, il estime qu’il y a une volonté de la mouvance présidentielle d’imposer des décisions déjà prises. «L’actuel régime veut juste amuser la galerie à travers un dialogue. Nous ne participerons jamais à ce type de farce», fulmine-t-il.
Selon le chargé de communication de Pastef, le Président Sall avait une commande à livrer. La preuve, l’exemple sur le parrainage est très édifiant. «Le fait de se faire parrainer par des élus lui donne encore la latitude de garder le clair-obscur jusqu’au 12 décembre 2023. Si c’était le parrainage par des citoyens, il devait collecter des parrains à partir du mois de juillet ou août au plus tard. Dans ce cas, le peuple sera édifié sur sa participation ou non à la prochaine présidentielle (25 février 2024)», renseigne El Hadji Malick Ndiaye avant de marteler que le chef de l’Etat ne fait rien pour rien et qu’il aura la possibilité de se faire parrainer par des élus, un minima de 13 élus. «Pour nous, cela fait partie des problèmes qu’il voulait régler. Les Sénégalais l’attendaient au tournant, mais il a réussi à retarder l’échéance», indique ElHadji Malick Ndiaye.