Après 3 heures de concertations qui se sont tenues entre 11 heures et 14 heures, Déthié Fall, mandataire de Gor ca wax ja et Moctar Sourang de l’Entente de forces (Efop) ne sont pas tombés d’accord sur la composition des plénipotentiaires qui devront représenter l’opposition au dialogue sur le fichier électoral. Même s’ils notent une « évolution » lors de leurs concertations, les deux parties vont présenter aujourd’hui à Abdoulaye Daouda Diallo deux listes.
Hier, malgré l’évidence, de façon diplomatique et avec beaucoup de tact, Déthié Fall et Moctar Sourang ont tenté d’assurer qu’ils allaient trouver un compromis « avant 18 heures ». Il aura malheureusement fallu repasser. Joint hier, en début de soirée, par nos confrères du Quotidien, Déthié Fall, par ailleurs vice-président de Rewmi, a confirmé : « Il n’y a pas eu d’entente. Par conséquent, il y aura deux listes de l’opposition ».
Sur les causes de la discorde, Maguette Sy du Pds a critiqué l’attitude du camp constitué par les partis de Modou Diagne Fada, Souleymane Ndéné Ndiaye, Aliou Sow et autres. « Ce pôle voulait qu’on fasse du « pathio » (partage), estimant qu’on doit faire du moitié-moitié. Dans leurs prétentions inqualifiables, ils ont voulu prendre 8 plénipotentiaires en nous laissant les 7 », rapporte l’adjoint de Sada Ndiaye, chargé des élections au Pds, lui aussi joint, hier, au téléphone par le journal. D’après M. Sy, son camp, sur une « base scientifique », a proposé, sans succès, de prendre 10 mandataires en laissant les 5 restants à l’Efop. Cette proposition rejetée, Maguette Sy y voit déjà une main du pouvoir, rappelant l’affaire de la présidence du groupe parlementaire de l’opposition libérale. « Dans cette opération de déstabilisation du Pds et de toute l’opposition, ce sont les mêmes partis qui bizarrement, sont ici à faire de la diversion en se présentant comme un pôle de l’opposition », déplore ce responsable politique qui fait allusion à Modou Diagne Fada et Aliou Sow.
En attendant, l’opposition va s’en remettre à l’arbitrage du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, Abdoulaye Daouda Diallo, qui lui avait fixé un délai de 48 heures pour présenter une liste.
Hier, malgré l’évidence, de façon diplomatique et avec beaucoup de tact, Déthié Fall et Moctar Sourang ont tenté d’assurer qu’ils allaient trouver un compromis « avant 18 heures ». Il aura malheureusement fallu repasser. Joint hier, en début de soirée, par nos confrères du Quotidien, Déthié Fall, par ailleurs vice-président de Rewmi, a confirmé : « Il n’y a pas eu d’entente. Par conséquent, il y aura deux listes de l’opposition ».
Sur les causes de la discorde, Maguette Sy du Pds a critiqué l’attitude du camp constitué par les partis de Modou Diagne Fada, Souleymane Ndéné Ndiaye, Aliou Sow et autres. « Ce pôle voulait qu’on fasse du « pathio » (partage), estimant qu’on doit faire du moitié-moitié. Dans leurs prétentions inqualifiables, ils ont voulu prendre 8 plénipotentiaires en nous laissant les 7 », rapporte l’adjoint de Sada Ndiaye, chargé des élections au Pds, lui aussi joint, hier, au téléphone par le journal. D’après M. Sy, son camp, sur une « base scientifique », a proposé, sans succès, de prendre 10 mandataires en laissant les 5 restants à l’Efop. Cette proposition rejetée, Maguette Sy y voit déjà une main du pouvoir, rappelant l’affaire de la présidence du groupe parlementaire de l’opposition libérale. « Dans cette opération de déstabilisation du Pds et de toute l’opposition, ce sont les mêmes partis qui bizarrement, sont ici à faire de la diversion en se présentant comme un pôle de l’opposition », déplore ce responsable politique qui fait allusion à Modou Diagne Fada et Aliou Sow.
En attendant, l’opposition va s’en remettre à l’arbitrage du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, Abdoulaye Daouda Diallo, qui lui avait fixé un délai de 48 heures pour présenter une liste.