Après les points de consensus trouvés sur le parrainage, les critères de vérification et la caution à verser par les candidats à la présidentielle, la commission politique du dialogue national qui poursuit ses travaux s’est penchée, hier, sur les cas d’inéligibilité des candidats de Takhawou Sénégal, Khalifa Ababacar Sall et du Parti démocratique sénégalais, Karim Wade condamnés respectivement à 5 ans d’emprisonnement ferme dans l’affaire de la caisse d’avance de la mairie de Dakar et à 6 ans de prison ferme et 138 milliards de F CFA pour enrichissement illicite. Deux cas attendus et qui polarisent toutes les attentions des observateurs du landerneau politique, constate LeTémoin.
Pour le camp de l’ancien maire de Dakar, des propositions ont été faites en faveur de l’amnistie ou la modification du code électoral pour permettre à leur candidat de prendre part à la course présidentielle du 25 février 2024, alors que les libéraux privilégient la révision du procès de Karim Wade afin de lui permettre de recouvrer ses droits civiques. Mais vraisemblablement, l’amnistie des cas Karim et Khalifa constituerait selon certains de nos interlocuteurs, un facteur bloquant. Nous y reviendrons plus largement dans nos prochaines éditions
Pour le camp de l’ancien maire de Dakar, des propositions ont été faites en faveur de l’amnistie ou la modification du code électoral pour permettre à leur candidat de prendre part à la course présidentielle du 25 février 2024, alors que les libéraux privilégient la révision du procès de Karim Wade afin de lui permettre de recouvrer ses droits civiques. Mais vraisemblablement, l’amnistie des cas Karim et Khalifa constituerait selon certains de nos interlocuteurs, un facteur bloquant. Nous y reviendrons plus largement dans nos prochaines éditions