«Je n’intègre pas que Sonko ne sera pas candidat»
«Pourquoi vous envisagez que Sonko ne sera pas candidat ? C’est une hypothèse que je n’intègre pas. Ça ne va pas arriver. Dieu a fait que nous sortons des élections législatives et il sait mieux que quiconque d’ailleurs, que lui et l’opposition partagent le pays.
Il ne faut pas oublier les chiffres, ils sont parlants et éloquents et je suis un mathématicien. Il a eu 46% lors des dernières élections, ce qui veut dire que 54% des électeurs ne sont pas avec lui. Il doit laisser respecter le verdict des urnes. Car seul le peuple a le droit de choisir qui va participer et qui ne va pas participer. Donc, encore une fois nous ne l’envisageons pas.
Ce n’est la première fois qu’on apporte notre soutien à un homme politique. Le Sénégal a sa tradition : tout homme ou acteur politique maltraité, nous l’avons soutenu, jusqu’au Président Macky Sall en 2008 quand il a été convoqué au Commissariat central. Une foule immense l’avait accompagné et des gens avaient été gazés à coups de grenades lacrymogènes, beaucoup de ses souteneurs blessés pour lui.
Contrairement au cas Ousmane Sonko où nous nous sommes retrouvés sur le terrain politique pour mettre en place une coalition qui s’est donnée à fond jusqu’à obtenir ces résultats. Et nous avons constaté que le Président Macky Sall veut aller dans une autre direction pour l’empêcher d’être candidat.
Donc, c’est un soutien extrêmement sincère et sans calcul, en tout cas en ce qui me concerne. Ce que je sais dans mon expérience en politique, c’est qu’il n’y a personne qui a fait des calculs en politique et qui a gagné par la suite. Nous sommes des croyants, seul Dieu sait qui sera le prochain président. C’est pourquoi nous ne sommes pas dans des calculs. Nous soutenons de façon sincère le président Ousmane Sonko».
«Vouloir trainer un leader politique dans la boue comme ça, parce qu’il incarne un espoir pour la jeunesse»
«Notre position n’a pas changé et ne changera pas. Tous les candidats déclarés doivent participer à l’élection présidentielle. Et le Président Ousmane Sonko participera à ces joutes électorales. En revanche, le Président Macky ne doit pas et ne peut pas participer, c’est aussi simple que ça. Ce qui s’est passé mardi dernier au tribunal de Dakar (Procès Sweet Beauté) est une première au Sénégal :
Vouloir trainer un leader politique dans la boue comme ça, parce qu’il incarne un espoir pour la jeunesse avec un projet. Alors que vous, vous êtes dans la direction de vouloir écarter un candidat. Ensuite, il s’est confronté à un leader qui a de la capacité. Cela n’a pas ébranlé le Président Ousmane Sonko.
Finalement, l’Etat n’a pas fait mal à Ousmane Sonko mais à la société qu’elle devrait protéger d’entendre certaines choses indécentes. Mais ce procès n’a pas dérangé Ousmane Sonko. Ce qu’il oublie, c’est que chaque leader est accompagné par des personnes qui assument leur choix.
Ceux qui sont avec moi sont de grands cadres, des professeurs d’université, des ingénieurs polytechniciens et autres. Je n’ai demandé à personne de venir me suivre, mais ils ont choisi d’être avec Déthié Fall pour l’accompagner dans sa mission. Donc, ce n’est pas à travers un procès, qu’on monte qu’on va changer leur opinion».
Extraits de Bes Bi
«Pourquoi vous envisagez que Sonko ne sera pas candidat ? C’est une hypothèse que je n’intègre pas. Ça ne va pas arriver. Dieu a fait que nous sortons des élections législatives et il sait mieux que quiconque d’ailleurs, que lui et l’opposition partagent le pays.
Il ne faut pas oublier les chiffres, ils sont parlants et éloquents et je suis un mathématicien. Il a eu 46% lors des dernières élections, ce qui veut dire que 54% des électeurs ne sont pas avec lui. Il doit laisser respecter le verdict des urnes. Car seul le peuple a le droit de choisir qui va participer et qui ne va pas participer. Donc, encore une fois nous ne l’envisageons pas.
Ce n’est la première fois qu’on apporte notre soutien à un homme politique. Le Sénégal a sa tradition : tout homme ou acteur politique maltraité, nous l’avons soutenu, jusqu’au Président Macky Sall en 2008 quand il a été convoqué au Commissariat central. Une foule immense l’avait accompagné et des gens avaient été gazés à coups de grenades lacrymogènes, beaucoup de ses souteneurs blessés pour lui.
Contrairement au cas Ousmane Sonko où nous nous sommes retrouvés sur le terrain politique pour mettre en place une coalition qui s’est donnée à fond jusqu’à obtenir ces résultats. Et nous avons constaté que le Président Macky Sall veut aller dans une autre direction pour l’empêcher d’être candidat.
Donc, c’est un soutien extrêmement sincère et sans calcul, en tout cas en ce qui me concerne. Ce que je sais dans mon expérience en politique, c’est qu’il n’y a personne qui a fait des calculs en politique et qui a gagné par la suite. Nous sommes des croyants, seul Dieu sait qui sera le prochain président. C’est pourquoi nous ne sommes pas dans des calculs. Nous soutenons de façon sincère le président Ousmane Sonko».
«Vouloir trainer un leader politique dans la boue comme ça, parce qu’il incarne un espoir pour la jeunesse»
«Notre position n’a pas changé et ne changera pas. Tous les candidats déclarés doivent participer à l’élection présidentielle. Et le Président Ousmane Sonko participera à ces joutes électorales. En revanche, le Président Macky ne doit pas et ne peut pas participer, c’est aussi simple que ça. Ce qui s’est passé mardi dernier au tribunal de Dakar (Procès Sweet Beauté) est une première au Sénégal :
Vouloir trainer un leader politique dans la boue comme ça, parce qu’il incarne un espoir pour la jeunesse avec un projet. Alors que vous, vous êtes dans la direction de vouloir écarter un candidat. Ensuite, il s’est confronté à un leader qui a de la capacité. Cela n’a pas ébranlé le Président Ousmane Sonko.
Finalement, l’Etat n’a pas fait mal à Ousmane Sonko mais à la société qu’elle devrait protéger d’entendre certaines choses indécentes. Mais ce procès n’a pas dérangé Ousmane Sonko. Ce qu’il oublie, c’est que chaque leader est accompagné par des personnes qui assument leur choix.
Ceux qui sont avec moi sont de grands cadres, des professeurs d’université, des ingénieurs polytechniciens et autres. Je n’ai demandé à personne de venir me suivre, mais ils ont choisi d’être avec Déthié Fall pour l’accompagner dans sa mission. Donc, ce n’est pas à travers un procès, qu’on monte qu’on va changer leur opinion».
Extraits de Bes Bi