L’une des particularités de notre siècle naissant est qu’il aura définitivement enterré les idéologies Gauche Droite et les clivages entre la Première et la Deuxième Internationale. Entre Communistes et Socialistes. Aujourd’hui c’est le NASDAQ qui règne en maître sur le monde, plus particulièrement en Afrique. C’est ce qui explique que d’anciens Communistes du défunt P.A.I ont atterri sur la piste du pseudo libéral Macky Sall. Notamment Amath Dansokho, la bande à Bathily et celle de Landing. Ils y côtoient les Roses Socialistes de Tanor et les Progressistes de Moustapha Niass.
Jadis c’étaient les fabricants d’armes et leurs marchands qui régentaient le pouvoir. Alors que les baroudeurs, eux, le contrôlaient ou l’exerçaient. Aujourd’hui des trillions de dollars, émanation du NASDAQ, circulent, survolant le monde entier, tels des rapaces à la recherche de charognes appétissantes. Par le BTP, on vient proposer des routes, des ponts, des aéroports et des édifices clé en main qui seront les boulets qui empêcheront nos enfants et petits-enfants d’assumer leur avenir.
Les barons du BTP financent l’opposition, corrompent le pouvoir et assurent une retraite paisible à ceux qui l’ont exercé. Mais, surtout, permettent au pouvoir de présenter un bilan.
Ce nouveau triptyque sert de trépied à ceux qui, par la finance mondiale, ont créé un système de domestication des politiques les plus turbulents. Pour les plus tranquilles il aura suffi d’ajouter une bonne dose de docilité.
L’inconvénient de ce règne du BTP c’est que le citoyen devient un véritable laissé pour compte. Les modèles de réalisation étant de types Monument de la Renaissance, Centre International Abdou Diouf de Diamniadio où se tiennent les conférences des moustiques de la sous région, parce que dépourvu d’hôtellerie. Ainsi que l’Autoroute à péage d’EIFFAGE devenue une véritable muraille de Chine. Permettant d’être à l’abri des charretiers et autres pauvres conducteurs de tacots à pannes fréquentes. Mais qui, curieusement, n’empêchent pas les embouteillages. Au contraire. Elle les collectionne aux points de collecte !
Ainsi, la prochaine grande révolution sera, pour le peuple, de réclamer des infrastructures qui bénéficieront aux humains que nous sommes. Et non pas à nos insectes, comme c’est le cas pour le Centre de International de Conférences Abdou Diouf de Diamniadio.
Ahmed Khalifa Niasse
Jadis c’étaient les fabricants d’armes et leurs marchands qui régentaient le pouvoir. Alors que les baroudeurs, eux, le contrôlaient ou l’exerçaient. Aujourd’hui des trillions de dollars, émanation du NASDAQ, circulent, survolant le monde entier, tels des rapaces à la recherche de charognes appétissantes. Par le BTP, on vient proposer des routes, des ponts, des aéroports et des édifices clé en main qui seront les boulets qui empêcheront nos enfants et petits-enfants d’assumer leur avenir.
Les barons du BTP financent l’opposition, corrompent le pouvoir et assurent une retraite paisible à ceux qui l’ont exercé. Mais, surtout, permettent au pouvoir de présenter un bilan.
Ce nouveau triptyque sert de trépied à ceux qui, par la finance mondiale, ont créé un système de domestication des politiques les plus turbulents. Pour les plus tranquilles il aura suffi d’ajouter une bonne dose de docilité.
L’inconvénient de ce règne du BTP c’est que le citoyen devient un véritable laissé pour compte. Les modèles de réalisation étant de types Monument de la Renaissance, Centre International Abdou Diouf de Diamniadio où se tiennent les conférences des moustiques de la sous région, parce que dépourvu d’hôtellerie. Ainsi que l’Autoroute à péage d’EIFFAGE devenue une véritable muraille de Chine. Permettant d’être à l’abri des charretiers et autres pauvres conducteurs de tacots à pannes fréquentes. Mais qui, curieusement, n’empêchent pas les embouteillages. Au contraire. Elle les collectionne aux points de collecte !
Ainsi, la prochaine grande révolution sera, pour le peuple, de réclamer des infrastructures qui bénéficieront aux humains que nous sommes. Et non pas à nos insectes, comme c’est le cas pour le Centre de International de Conférences Abdou Diouf de Diamniadio.
Ahmed Khalifa Niasse