« Il faut former et sensibiliser pour ne pas avoir à sanctionner», déclare le président du CNRA, Babacar Diagne. Il a lors de cet atelier organisé par le Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA) et le National Démocratic Institute (NDI), indiqué que le CNRA a aujourd’hui, une position d’autorité. Mais, il veut en faire une position d’influence pour les professionnels de médias.
Malheureusement, constate-t-il, les cameramen et photographes filment et photographient même dans les cimetières. « C’est extrêmement grave. Nous sommes dans un pays ou le « soutoura », l’intimité, la discrétion et le « kersa » (la retenue) sont des valeurs », dit-il.
Les initiateurs de cette formation ont mis un accent particulier sur le respect de la dignité humaine, qui ne pourrait être dissocié à l’usage des images diffusées par les médias. Ainsi, le CORED a prôné l’arrêt des dérapages, visant l’image des citoyens.
Malheureusement, constate-t-il, les cameramen et photographes filment et photographient même dans les cimetières. « C’est extrêmement grave. Nous sommes dans un pays ou le « soutoura », l’intimité, la discrétion et le « kersa » (la retenue) sont des valeurs », dit-il.
Les initiateurs de cette formation ont mis un accent particulier sur le respect de la dignité humaine, qui ne pourrait être dissocié à l’usage des images diffusées par les médias. Ainsi, le CORED a prôné l’arrêt des dérapages, visant l’image des citoyens.