« Une vérité cesse d’être vraie quand plus d’une personne n’y croit », Oscar Wilde.
Cette assertion est valable pour le PROS (Président Ousmane Sonko) comme l’appellent affectueusement ses affidés. Ce mot est même faible, tant ils adulent leur maître, allant même, jusqu’à porter des effigies autour de leur cou comme le font les disciples envers leurs marabouts.
PROS raconte dans ses dernières sorties qu’elle ne connait pas Adji Raby SARR et qu’il n’a jamais eu de rapports intimes avec elle. Soit, pour le peu que nous savons de cette histoire, c’est la première fois que Sonko affirme cette thèse. Qu’est ce qui a changé entre temps ?
A entendre parler l’avocat de la partie civile, le médecin gynécologue, le procureur et les témoins de la défense, PROS était bel et bien un habitué des lieux. Toutes les parties prenantes ont été unanimes sur sa présence à partir de l’année 2020 au moins.
Le gros mensonge de PROS réside dans le fait qu’il ne peut pas venir dans un tel « bordel », excusez du terme, et passer inaperçu. Adji l’a soit reconnu, soit approché ou le gus lui-même, est tombé sous le charme de la petite qui est devenue « son incontournable ».
Un député de notre auguste Assemblée nationale, se trimballe la nuit, sans chauffeur, en plein couvre-feu, pour aller dans un endroit digne d’une maison close, afin de se faire masser par des profanes de la kinésithérapie.
Ce paragraphe résume l’affaire Ousmane SONKO/Adji Raby SARR. Que PROS l’ait violé ou pas, personne ne le saura sans doute. Mais, le simple fait qu’une personnalité de cette envergure puisse se permettre ces légèretés, causant sa descente aux enfers, du point de vue de la morale, cela reste impardonnable.
Un homme reste un homme avec ses pulsions et désirs pires qu’un animal. Mais là, c’est trop. Les faits sont têtus. Mais, Ousmane SONKO s’est mis dans le pétrin tout seul et ses adversaires ont exploité ses failles pour l’abattre politiquement. C’est de bonne guerre.
Ousmane SONKO s’est flagellé lui-même et s’est auto octroyé « un carton rouge » en direction de l’élection présidentielle de 2024.
Nous en appelons à la jeunesse et, à tous les pans de la société sénégalaise pour que le 1er juin et jours suivants, quelque soit le délibéré de l’affaire, que la paix puisse régner et qu’une affaire privée de sexe ne ternisse pas notre cohésion nationale.
L’épisode judiciaire à caractère pornographique auquel, nous avons assisté ce 23 Mai 2023, restera dans les anales comme le procès politique le plus sale, le plus vicieux et le plus dégradant, jamais vu dans ce pays.
Nos enfants, nos familles et nos parents ne doivent pas assister à la chute vertigineuse des valeurs, gage d’une bonne éducation. Communiquons et disons-nous la vérité en face.
Que le Tout Puissant protège le Sénégal !
Cette assertion est valable pour le PROS (Président Ousmane Sonko) comme l’appellent affectueusement ses affidés. Ce mot est même faible, tant ils adulent leur maître, allant même, jusqu’à porter des effigies autour de leur cou comme le font les disciples envers leurs marabouts.
PROS raconte dans ses dernières sorties qu’elle ne connait pas Adji Raby SARR et qu’il n’a jamais eu de rapports intimes avec elle. Soit, pour le peu que nous savons de cette histoire, c’est la première fois que Sonko affirme cette thèse. Qu’est ce qui a changé entre temps ?
A entendre parler l’avocat de la partie civile, le médecin gynécologue, le procureur et les témoins de la défense, PROS était bel et bien un habitué des lieux. Toutes les parties prenantes ont été unanimes sur sa présence à partir de l’année 2020 au moins.
Le gros mensonge de PROS réside dans le fait qu’il ne peut pas venir dans un tel « bordel », excusez du terme, et passer inaperçu. Adji l’a soit reconnu, soit approché ou le gus lui-même, est tombé sous le charme de la petite qui est devenue « son incontournable ».
Un député de notre auguste Assemblée nationale, se trimballe la nuit, sans chauffeur, en plein couvre-feu, pour aller dans un endroit digne d’une maison close, afin de se faire masser par des profanes de la kinésithérapie.
Ce paragraphe résume l’affaire Ousmane SONKO/Adji Raby SARR. Que PROS l’ait violé ou pas, personne ne le saura sans doute. Mais, le simple fait qu’une personnalité de cette envergure puisse se permettre ces légèretés, causant sa descente aux enfers, du point de vue de la morale, cela reste impardonnable.
Un homme reste un homme avec ses pulsions et désirs pires qu’un animal. Mais là, c’est trop. Les faits sont têtus. Mais, Ousmane SONKO s’est mis dans le pétrin tout seul et ses adversaires ont exploité ses failles pour l’abattre politiquement. C’est de bonne guerre.
Ousmane SONKO s’est flagellé lui-même et s’est auto octroyé « un carton rouge » en direction de l’élection présidentielle de 2024.
Nous en appelons à la jeunesse et, à tous les pans de la société sénégalaise pour que le 1er juin et jours suivants, quelque soit le délibéré de l’affaire, que la paix puisse régner et qu’une affaire privée de sexe ne ternisse pas notre cohésion nationale.
L’épisode judiciaire à caractère pornographique auquel, nous avons assisté ce 23 Mai 2023, restera dans les anales comme le procès politique le plus sale, le plus vicieux et le plus dégradant, jamais vu dans ce pays.
Nos enfants, nos familles et nos parents ne doivent pas assister à la chute vertigineuse des valeurs, gage d’une bonne éducation. Communiquons et disons-nous la vérité en face.
Que le Tout Puissant protège le Sénégal !