A moins de 24h du lancement du Dialogue national, le maire de la ville de Dakar, Barthélémy Dias, a surpris son monde: « Je n’irai pas au Dialogue national demain (ce jeudi) ». Car, « il m’est revenu que c’est dans deux jours qu’on va définir les termes de référence », a-t-il expliqué sur la 7tv.
Le responsable de « Taxawu Sénégal » a posé ses 5 conditions pour éventuellement prendre part à ces concertations.
« Si la question du troisième mandat qui est prêtée à Macky Sall n’est pas inscrite dans les termes de référence, je n’irai pas à ces concertations' », a-t-il déclaré. Et d’ajouter: « Avec tout le respect que je dois au chef de l’Etat, je n’y participerais pas. Je constaterais dans ce cas que ce n’est pas sincère ».Selon lui, « on peut discuter de la participation de tous les autres candidats parce que la constitution lui permet d’organiser des élections et non des sélections ».
Les trois autres points, aux yeux de Barthélémy Dias, sont « le parrainage, le fichier électoral et les cartes d’électeur ».Toutefois, a-t-il fait remarquer, « je ne vois pas d’objectivité, ni de sérieux ».
Le maire de Dakar a, en outre, pensé qu’il faut, au cours de ce dialogue, « que le président Macky Sall accepte de parler des 400 détenus politiques ».
Il a, par ailleurs, taclé les membres de Yewwi Askan Wi, coalition qu’il considère comme un « mouvement de soutien » à Ousmane Sonko.
Le responsable de « Taxawu Sénégal » a posé ses 5 conditions pour éventuellement prendre part à ces concertations.
« Si la question du troisième mandat qui est prêtée à Macky Sall n’est pas inscrite dans les termes de référence, je n’irai pas à ces concertations' », a-t-il déclaré. Et d’ajouter: « Avec tout le respect que je dois au chef de l’Etat, je n’y participerais pas. Je constaterais dans ce cas que ce n’est pas sincère ».Selon lui, « on peut discuter de la participation de tous les autres candidats parce que la constitution lui permet d’organiser des élections et non des sélections ».
Les trois autres points, aux yeux de Barthélémy Dias, sont « le parrainage, le fichier électoral et les cartes d’électeur ».Toutefois, a-t-il fait remarquer, « je ne vois pas d’objectivité, ni de sérieux ».
Le maire de Dakar a, en outre, pensé qu’il faut, au cours de ce dialogue, « que le président Macky Sall accepte de parler des 400 détenus politiques ».
Il a, par ailleurs, taclé les membres de Yewwi Askan Wi, coalition qu’il considère comme un « mouvement de soutien » à Ousmane Sonko.