Mesdames et Messieurs
Notre planète est secouée par la pandémie mortelle du coronavirus depuis plusieurs mois, décimant sans merci des milliers d’êtres humains dans le monde. Le Gabon à l’instar d’autres pays, s’est mobilisé pour mettre en œuvre les stratégies de lutte contre la Covid-19, d’où la création du comité technique de pilotage, d’éveil et de riposte contre l’épidémie.
Une plateforme technique et scientifique qu’au départ, les compatriotes ont apprécié à l’idée qu’elle sera par essence, la constellation des intelligences des experts et la base de collecte des différentes contributions de toutes les forces vivent de la nation.
Toutefois, à mesure que l’on observe l’évolution vertigineuse de la pandémie du Covid-19 dans notre pays, les chiffres actuels en parlent d’eux-mêmes, grande a été notre désolation, voire déception de constater l’exclusion injustifiées de la presse privée gabonaise dans sa majorité dans la mise en œuvre de la riposte de notre ennemi commun qui affaiblit de jour en jour tous les secteurs de notre vie commune en l’occurrence celui de l’économie.
Les Médias, comme la relevé le premier ministre lors de la conférence de presse gouvernementale du vendredi 10 avril dernier, à l’immeuble Arambo, constitue l’un des outils essentiels pour mieux véhiculer les mesures barrières contre la pandémie et, une force indispensable d’information et de sensibilisation de proximité capable de relayer les messages du gouvernement à l’endroit des populations.
Comment comprendre que depuis la mise en place du COPIL, et ce malgréles moyens matériels et financiers mobilisés à l’échelle nationale et internationale, les médias privés locauxne sont pas pris en compte,en dépit de leur bonne volonté à accompagner les autorités dans cette bataille contre le coronavirus.
Notre planète est secouée par la pandémie mortelle du coronavirus depuis plusieurs mois, décimant sans merci des milliers d’êtres humains dans le monde. Le Gabon à l’instar d’autres pays, s’est mobilisé pour mettre en œuvre les stratégies de lutte contre la Covid-19, d’où la création du comité technique de pilotage, d’éveil et de riposte contre l’épidémie.
Une plateforme technique et scientifique qu’au départ, les compatriotes ont apprécié à l’idée qu’elle sera par essence, la constellation des intelligences des experts et la base de collecte des différentes contributions de toutes les forces vivent de la nation.
Toutefois, à mesure que l’on observe l’évolution vertigineuse de la pandémie du Covid-19 dans notre pays, les chiffres actuels en parlent d’eux-mêmes, grande a été notre désolation, voire déception de constater l’exclusion injustifiées de la presse privée gabonaise dans sa majorité dans la mise en œuvre de la riposte de notre ennemi commun qui affaiblit de jour en jour tous les secteurs de notre vie commune en l’occurrence celui de l’économie.
Les Médias, comme la relevé le premier ministre lors de la conférence de presse gouvernementale du vendredi 10 avril dernier, à l’immeuble Arambo, constitue l’un des outils essentiels pour mieux véhiculer les mesures barrières contre la pandémie et, une force indispensable d’information et de sensibilisation de proximité capable de relayer les messages du gouvernement à l’endroit des populations.
Comment comprendre que depuis la mise en place du COPIL, et ce malgréles moyens matériels et financiers mobilisés à l’échelle nationale et internationale, les médias privés locauxne sont pas pris en compte,en dépit de leur bonne volonté à accompagner les autorités dans cette bataille contre le coronavirus.
Sous d’autres cieux, en l’occurrence au Sénégal, pour la même cause urgente, une enveloppe d’un milliard quatre cent millions, soit le double de leur subvention initiale, a été mobilisée par le Président MackySall,ce pour renforcer la lutte contre la Covid-19.
Or, les organes de presse privés, bien qu’engagés à hauteur de leurs infimes possibilités,ne sauraient participer pleinement dans cette guerre. Aussi ; longtemps que leurs conditions de travail demeureront approximatives, du fait de la carence des moyens appropriés pour faire face à la pandémie, les médias privés ne sauraient réagir avec efficacité.
Mesdames et Messieurs
Fort de ce qui précède, nous interpellons le président de la République, Son Excellence Ali Bongo Ondimba, le Coordonnateur général des Affaires Présidentielles, M.Nourredin Bongo Valentin et le ministre de la Communication, M. Edgar Anicet MboumbouMiyakou, afin qu’ils prêtent une oreille attentive à la préoccupation exprimée par la corporation en vue de renforcer les canaux de communications et d’information de pointe, susceptibles de contribuer à endiguer l’épidémie du coronavirus au Gabon.
Fait à Libreville, le 16 avril 2020
Le porte-parole du collectif Thierry MebaleEkouaghe
Or, les organes de presse privés, bien qu’engagés à hauteur de leurs infimes possibilités,ne sauraient participer pleinement dans cette guerre. Aussi ; longtemps que leurs conditions de travail demeureront approximatives, du fait de la carence des moyens appropriés pour faire face à la pandémie, les médias privés ne sauraient réagir avec efficacité.
Mesdames et Messieurs
Fort de ce qui précède, nous interpellons le président de la République, Son Excellence Ali Bongo Ondimba, le Coordonnateur général des Affaires Présidentielles, M.Nourredin Bongo Valentin et le ministre de la Communication, M. Edgar Anicet MboumbouMiyakou, afin qu’ils prêtent une oreille attentive à la préoccupation exprimée par la corporation en vue de renforcer les canaux de communications et d’information de pointe, susceptibles de contribuer à endiguer l’épidémie du coronavirus au Gabon.
Fait à Libreville, le 16 avril 2020
Le porte-parole du collectif Thierry MebaleEkouaghe