« L’alerte du Professeur Babacar Guèye est un Professeur émérite qui a été rédacteur de la Constitution de 2011. C’est donc un minimum que de considérer que ses avis font autorité », a, d’abord, fait savoir Amadou Guèye.
Il estime que « si cet avis trouve une interprétation différente de la part d’autres constitutionnalistes, y a problème. Or, dans le corpus constitutionnel aujourd’hui, le président de la République peut saisir le Conseil constitutionnel pour demander un avis consultatif ».
Il lui suffit de poser la question au Conseil constitutionnel pour savoir si en cas de sa réélection en 2019, il pourrait se représenter en 2024 et le Conseil constitutionnel va lui donner une réponse sans ambiguïté, a estimé le président de l’UNIS.
« C’est un mécanisme qui va permettre de mettre fin au débat. Si le Conseil dit qu’effectivement qu’il se représenter en 2024, nous serons tous que le texte constitutionnel est déficient. L’Assemblée nationale pourra prendre un amendement constitutionnel pour corriger cette faille. Si le Conseil dit qu’il n’y a pas de possibilité pour le président de la République de se représenter en 2024, le débat sera clos… on parle d’un avis consultatif qui engagera tout le monde parce qu’il n’y aura pas d’ambiguïté… », a-t-il laissé entendre.
La rédaction de leral.net
Il estime que « si cet avis trouve une interprétation différente de la part d’autres constitutionnalistes, y a problème. Or, dans le corpus constitutionnel aujourd’hui, le président de la République peut saisir le Conseil constitutionnel pour demander un avis consultatif ».
Il lui suffit de poser la question au Conseil constitutionnel pour savoir si en cas de sa réélection en 2019, il pourrait se représenter en 2024 et le Conseil constitutionnel va lui donner une réponse sans ambiguïté, a estimé le président de l’UNIS.
« C’est un mécanisme qui va permettre de mettre fin au débat. Si le Conseil dit qu’effectivement qu’il se représenter en 2024, nous serons tous que le texte constitutionnel est déficient. L’Assemblée nationale pourra prendre un amendement constitutionnel pour corriger cette faille. Si le Conseil dit qu’il n’y a pas de possibilité pour le président de la République de se représenter en 2024, le débat sera clos… on parle d’un avis consultatif qui engagera tout le monde parce qu’il n’y aura pas d’ambiguïté… », a-t-il laissé entendre.
La rédaction de leral.net
Amadou Guèye, président de l'UNIS