L'idylle entre Ahmadou Dia et Absa Pichard n'a duré que 6 mois avant d’atterrir devant la justice. Devant la juridiction pénale, l'amant, qui a attrait sa copine étudiante devant la barre, est largement revenu, selon Le Populaire, sur les faits. A en croire M. Dia, sa petite-amie est venue le trouver au bureau pour qu'ils aillent au marché Sandaga faire des courses. Tout allait très bien jusqu'à ce que sa maîtresse, ne supportant plus les embouteillages, lui demande d'emprunter une autre voie qui était libre. Mais, l'amant lui a signifié que cette voie est un sens interdit. Ne pouvant plus supporter la pression de sa copine, il lui a lancé des grossièretés. Pour toutes réponses, dit-il, cette dernière a répliqué en l'insultant de mère. Et quand il lui a demandé de descendre de sa voiture, contre toute attente, elle n'a pas hésité à s'agripper au volant en disant qu'ils allaient tous les deux mourir dans le véhicule. C'est ainsi, poursuit la partie civile, qu'il a accepté la demande de son amie de la ramener chez elle aux Almadies. Mais, feignant de d'obtempérer, il a fait un crochet à la police centrale pour leur exposer ses inquiétudes par rapport aux humeurs de sa copine qu'il voulait d'ailleurs faire sortir de la voiture. Finalement, c'est à force d'insister que la jeune femme a fini par descendre. Ce, non sans s'emparer des pièces du véhicule qu'elle menaçait d'aller donner à la femme d'Ahmadou Dia qui vit aux Maristes. Pris de peur, le jeune homme s’agrippe au sac de sa copine pour récupérer ses papiers. Et, c'est le moment choisi par la jeune fille pour lui a asséner deux coups de couteau au dos.
Interrogée sur ses actes, la jeune étudiante a balayé d'un revers de main les propos de son amant. Elle a avoué qu'elle détenait l'arme mais qu'elle ne lui a jamais donné des coups avec. Elle a chargé son amant qu'elle accuse de s'en être pris à elle. A l'en croire, elle ne faisait que profiter de lui puisqu'elle ne pouvait pas satisfaire sa libido.
Finalement, après délibéré, le tribunal l'a déclarée coupable avant de la condamner à 3 mois de prison dont 15 jours ferme.
Interrogée sur ses actes, la jeune étudiante a balayé d'un revers de main les propos de son amant. Elle a avoué qu'elle détenait l'arme mais qu'elle ne lui a jamais donné des coups avec. Elle a chargé son amant qu'elle accuse de s'en être pris à elle. A l'en croire, elle ne faisait que profiter de lui puisqu'elle ne pouvait pas satisfaire sa libido.
Finalement, après délibéré, le tribunal l'a déclarée coupable avant de la condamner à 3 mois de prison dont 15 jours ferme.