Des rumeurs persistantes font état du décès de la mère de l’homme déterré et brûlé à Kaolack. D'après "Seneweb", ces informations sont fausses. Selon des sources concordantes, la mère du défunt est en vie.
Toutefois, samedi dernier, la dame, très affectée par les évènements de la journée, a fait un malaise. Ce malaise s’est produit bien avant que le corps de son fils ne soit profané. Des sources de "Seneweb", révèlent qu’elle est alitée depuis lors.
Pour rappel, le corps d’un homme enterrée vendredi au cimetière de Léona Niassène, a été exhumé puis brûlé, car il serait celui d'un homosexuel présumé, selon les auteurs.
Des vidéos relayées sur les réseaux sociaux, montrent une foule de plusieurs centaines de personnes massées dans une rue autour d'un feu. Beaucoup de personnes ont filmé la scène avec leur téléphone portable. La justice s’est saisie de l’affaire. "Ces actes d'une extrême gravité, relevant de la barbarie, interpellent les autorités et ne peuvent rester impunis. Une enquête est ouverte afin d'identifier les auteurs et engager contre eux, des poursuites pénales", a écrit le procureur de Kaolack, dans un communiqué.
Toutefois, samedi dernier, la dame, très affectée par les évènements de la journée, a fait un malaise. Ce malaise s’est produit bien avant que le corps de son fils ne soit profané. Des sources de "Seneweb", révèlent qu’elle est alitée depuis lors.
Pour rappel, le corps d’un homme enterrée vendredi au cimetière de Léona Niassène, a été exhumé puis brûlé, car il serait celui d'un homosexuel présumé, selon les auteurs.
Des vidéos relayées sur les réseaux sociaux, montrent une foule de plusieurs centaines de personnes massées dans une rue autour d'un feu. Beaucoup de personnes ont filmé la scène avec leur téléphone portable. La justice s’est saisie de l’affaire. "Ces actes d'une extrême gravité, relevant de la barbarie, interpellent les autorités et ne peuvent rester impunis. Une enquête est ouverte afin d'identifier les auteurs et engager contre eux, des poursuites pénales", a écrit le procureur de Kaolack, dans un communiqué.