Thierno Younouss Diallo n’a eu que ses yeux pour pleurer, quand le juge a prononcé la sentence qui lui est infligée. Poursuivi pour vol avec violence sur une mineure de moins de 15 ans, il a pourtant tenté de diluer sa responsabilité. Ce, en alléguant avoir uniquement arraché le portable de celle-ci.
Le jour des faits, la mineure J. Odeyra a eu la malchance de croiser Thierno Younouss Diallo. Alors qu’elle revenait de l’école, la jeune fille, qui arpentait tranquillement le Point E, a été surprise par derrière. L’homme qui en avait visiblement après son portable, l’a étranglée avant d’arracher l’appareil. La gamine, malgré sa panique, a alerté le voisinage, en criant au voleur.
Par chance, un homme qui garait son véhicule est tombé sur la scène. Instinctivement, il est venu au secours de la demoiselle, avec l’aide des autres riverains. Maîtrisé, Thierno Younouss Diallo est conduit au commissariat du Point E, où il a rendu à la jeune fille son téléphone portable.
Face aux enquêteurs, il reconnaît les faits qui lui sont reprochés et fait allusion à une erreur de sa part. D’après lui, commissionné par sa mère, il a joué et perdu au Parifoot tout l’argent de sa maman. Pour ne pas rentrer bredouille, il a eu l’ingéniosité d’agresser l’élève, afin de revendre son téléphone.
C’est ainsi qu’au terme de sa garde-à-vue, il a été déféré au parquet, avant d’être écroué pour vol avec violence. Hier, son affaire a été évoquée à la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar. Sans ambages, il a reconnu avoir arraché le téléphone de la gamine. Mais il a contesté avec véhémence la circonstance aggravante qu’est la violence.
“J'ai juste arraché le portable avant de prendre la fuite, mais on m'a poursuivi. Je ne l'ai pas étranglée”, s’est-il défendu.
Le ministère public, pour qui la culpabilité du prévenu ne souffre d’aucun doute, a requis deux ans d’emprisonnement, dont trois mois ferme. Pour sa part, l’avocat de la défense a sollicité une application bienveillante de la loi.
Au terme de sa plaidoirie, le tribunal a reconnu le prévenu Thierno Younouss Diallo, coupable du délit de vol avec violence. Pour la peine, il a écopé de six mois d’emprisonnement ferme.
Le jour des faits, la mineure J. Odeyra a eu la malchance de croiser Thierno Younouss Diallo. Alors qu’elle revenait de l’école, la jeune fille, qui arpentait tranquillement le Point E, a été surprise par derrière. L’homme qui en avait visiblement après son portable, l’a étranglée avant d’arracher l’appareil. La gamine, malgré sa panique, a alerté le voisinage, en criant au voleur.
Par chance, un homme qui garait son véhicule est tombé sur la scène. Instinctivement, il est venu au secours de la demoiselle, avec l’aide des autres riverains. Maîtrisé, Thierno Younouss Diallo est conduit au commissariat du Point E, où il a rendu à la jeune fille son téléphone portable.
Face aux enquêteurs, il reconnaît les faits qui lui sont reprochés et fait allusion à une erreur de sa part. D’après lui, commissionné par sa mère, il a joué et perdu au Parifoot tout l’argent de sa maman. Pour ne pas rentrer bredouille, il a eu l’ingéniosité d’agresser l’élève, afin de revendre son téléphone.
C’est ainsi qu’au terme de sa garde-à-vue, il a été déféré au parquet, avant d’être écroué pour vol avec violence. Hier, son affaire a été évoquée à la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar. Sans ambages, il a reconnu avoir arraché le téléphone de la gamine. Mais il a contesté avec véhémence la circonstance aggravante qu’est la violence.
“J'ai juste arraché le portable avant de prendre la fuite, mais on m'a poursuivi. Je ne l'ai pas étranglée”, s’est-il défendu.
Le ministère public, pour qui la culpabilité du prévenu ne souffre d’aucun doute, a requis deux ans d’emprisonnement, dont trois mois ferme. Pour sa part, l’avocat de la défense a sollicité une application bienveillante de la loi.
Au terme de sa plaidoirie, le tribunal a reconnu le prévenu Thierno Younouss Diallo, coupable du délit de vol avec violence. Pour la peine, il a écopé de six mois d’emprisonnement ferme.