Se prononçant sur une rumeur faisant croire à l’existence de coupeurs de tête ou de voleurs d’enfants à Kolda, une rumeur qui enfle du fait de la circulation d’une vidéo devenue virale et qui montre un auteur présumé ligoté et interrogé par une foule. Le commissaire balaie en touche par rapport à tous ces on-dit. « Il n’en est rien du tout. Il n’y a pas de cas de kidnapping ni d’enlèvement d’enfants à Kolda », a-t-il expliqué.
Avant de préciser qu’il s’agit là d’un malade mental d’origine étrangère, qui avait l’intention de prendre une fillette portée par sa maman aux environs de l’hôpital régional, prétextant que c’est son enfant. Mais, « ce n’est pas un cas de vol d’enfant », a-t-il insisté pour rassurer les populations de Kolda, chez qui la psychose commençait à s’installer.
Toutefois, le chef de Service régional de la police a fait cas de quelques problèmes familiaux et de cas isolés de vol ou conflits familiaux qui atterrissent parfois au niveau du commissariat. Tout en insistant sur les vols de motos devenus récurrents, notamment aux devantures des lieux recevant du public. C’est pourquoi, il a profité de ce face-à -face avec la presse locale, pour signifier à l’opinion que « la sécurité publique doit être l’affaire de tous ». Pour Malick Dieng, « aucune force de police ne peut à elle seule, assurer la sécurité des populations et de leurs biens ».
Ainsi, a-t-il appelé « les populations koldoises, à une collaboration franche et sincère avec les forces de défense et de sécurité », pour barrer la route aux personnes malintentionnées. Dans le même sillage, M. Dieng a prôné dans sa feuille de route, « une police par la population et pour la population ».
Tribune
Avant de préciser qu’il s’agit là d’un malade mental d’origine étrangère, qui avait l’intention de prendre une fillette portée par sa maman aux environs de l’hôpital régional, prétextant que c’est son enfant. Mais, « ce n’est pas un cas de vol d’enfant », a-t-il insisté pour rassurer les populations de Kolda, chez qui la psychose commençait à s’installer.
Toutefois, le chef de Service régional de la police a fait cas de quelques problèmes familiaux et de cas isolés de vol ou conflits familiaux qui atterrissent parfois au niveau du commissariat. Tout en insistant sur les vols de motos devenus récurrents, notamment aux devantures des lieux recevant du public. C’est pourquoi, il a profité de ce face-à -face avec la presse locale, pour signifier à l’opinion que « la sécurité publique doit être l’affaire de tous ». Pour Malick Dieng, « aucune force de police ne peut à elle seule, assurer la sécurité des populations et de leurs biens ».
Ainsi, a-t-il appelé « les populations koldoises, à une collaboration franche et sincère avec les forces de défense et de sécurité », pour barrer la route aux personnes malintentionnées. Dans le même sillage, M. Dieng a prôné dans sa feuille de route, « une police par la population et pour la population ».
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