« J’y étais parti parce que j’avais le sentiment que les sénégalais doivent être dans l’obligation de se parler. J’y étais parti parce que j’avais le sentiment qu’il fallait dire des vérités au président de la République pour qu’il ne se trompe pas et qu’il ne se fourvoie pas sur les urgences qui sont les nôtres aujourd’hui. J’y étais parti pour donner une chance à la paix pour faire en sorte que nous ayons les élections les plus transparentes (…). Une élection qui donnerait à tous les acteurs le pouvoir d’y participer ».
Cependant, il a l’impression avec les dernières mesures y compris la dissolution du parti Pastef que la désescalade qu’il avait espéré a été reléguée à l’arrière-plan en lieu et place de ce qui s’annonce aujourd’hui et ce qui est sorti de l’Assemblée nationale ne me fait pas plaisir. « Parce que je le répète c’est parce que nous avons failli nous les politiciens et que nous avons entraîné le Sénégal dans une situation de chaos que nous avons estimé à l’unisson avec le président qu’il fallait que nous dialoguions pour trouver des solutions », a-t-il soutenu.
Interrogé sur la modification du code électoral pour permettre à des opposants de pouvoir participer à l’élection présidentielle, il a dit : « j’estime que les conditions par lesquelles on a fait passer Karim Wade et Khalifa Ababacar Sall si ces dispositions laissent dehors Ousmane Sonko c’est une injuste flagrante que moi je ne peux accepter. Et ce n’est pas l’idée que j’avais du dialogue et c’est le lieu de le dénoncer ».
Cependant, il a l’impression avec les dernières mesures y compris la dissolution du parti Pastef que la désescalade qu’il avait espéré a été reléguée à l’arrière-plan en lieu et place de ce qui s’annonce aujourd’hui et ce qui est sorti de l’Assemblée nationale ne me fait pas plaisir. « Parce que je le répète c’est parce que nous avons failli nous les politiciens et que nous avons entraîné le Sénégal dans une situation de chaos que nous avons estimé à l’unisson avec le président qu’il fallait que nous dialoguions pour trouver des solutions », a-t-il soutenu.
Interrogé sur la modification du code électoral pour permettre à des opposants de pouvoir participer à l’élection présidentielle, il a dit : « j’estime que les conditions par lesquelles on a fait passer Karim Wade et Khalifa Ababacar Sall si ces dispositions laissent dehors Ousmane Sonko c’est une injuste flagrante que moi je ne peux accepter. Et ce n’est pas l’idée que j’avais du dialogue et c’est le lieu de le dénoncer ».