"Il faut impérativement une synergie qui va regrouper l’ensemble des actions des différents ministères sectoriels qui vont faire face aux changements’’, a-t-il souligné en marge de l’atelier de validation du Plan d’action du Cadre national des services climatologiques (CNSC), renseigne un communiqué de l’APS.
‘’Il faut une approche globale, d’où la mise en place de ce cadre suite aux recommandations de l’Organisation mondiale de la météorologie" (OMM), a-t-il poursuivi.
Les intervenants sont divers et variés, a observé M. Ndao, précisant que ce cadre va ‘’fédérer tous les secteurs qui sont concernés, notamment le secteur de l’énergie, celui qui s’occupe des risques, le transport, le tourisme, la sécurité alimentaire qui doivent mettre en place une synergie’’.
M. Ndao a rappelé que l’ANACIM a entamé le processus de création du CNSC depuis 2014, avec la participation des institutions nationales productrices d’informations dans les domaines du climat, du temps et de l’eau, ainsi que des secteurs clés utilisateurs de ces informations.
‘’Le second atelier de partage et de pré-validation a été organisé le 16 février 2016. Son objectif était de recueillir les amendements et recommandations des partenaires acteurs du CNSC pour leur prise en compte dans le schéma final’’, a-t-il soutenu.
Pour Arame Tall, représentante régional du Cadre mondial pour les services climatiques (CMSC), ‘’le cadre national permettra de traduire les avancées scientifiques dans le domaine du climat en outil opérationnel de prise de décision au bénéfice de la société’.
Elle a rappelé que cet atelier de validation était ‘’la dernière étape d’un processus qui devra être suivi par la mise en œuvre des actions identifiées sous le leadership du gouvernement’’.
APS
‘’Il faut une approche globale, d’où la mise en place de ce cadre suite aux recommandations de l’Organisation mondiale de la météorologie" (OMM), a-t-il poursuivi.
Les intervenants sont divers et variés, a observé M. Ndao, précisant que ce cadre va ‘’fédérer tous les secteurs qui sont concernés, notamment le secteur de l’énergie, celui qui s’occupe des risques, le transport, le tourisme, la sécurité alimentaire qui doivent mettre en place une synergie’’.
M. Ndao a rappelé que l’ANACIM a entamé le processus de création du CNSC depuis 2014, avec la participation des institutions nationales productrices d’informations dans les domaines du climat, du temps et de l’eau, ainsi que des secteurs clés utilisateurs de ces informations.
‘’Le second atelier de partage et de pré-validation a été organisé le 16 février 2016. Son objectif était de recueillir les amendements et recommandations des partenaires acteurs du CNSC pour leur prise en compte dans le schéma final’’, a-t-il soutenu.
Pour Arame Tall, représentante régional du Cadre mondial pour les services climatiques (CMSC), ‘’le cadre national permettra de traduire les avancées scientifiques dans le domaine du climat en outil opérationnel de prise de décision au bénéfice de la société’.
Elle a rappelé que cet atelier de validation était ‘’la dernière étape d’un processus qui devra être suivi par la mise en œuvre des actions identifiées sous le leadership du gouvernement’’.
APS
