Les invitations ont été lancées et Alassane Dramane Ouattara, le chef de l’État ivoirien, a annoncé qu’il serait présent. Les chefs d’État de la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (Cedeao) ont en effet été invités à Dakar ce samedi par Macky Sall, président en exercice de l’organisation ouest-africaine, pour un sommet extraordinaire consacré à la crise politique en Guinée-Bissau et aux élections présidentielles à venir dans trois pays majeurs de la sous-région : la Côte d’Ivoire, le Burkina Faso et la Guinée.
Sur initiative du président sénégalais, l’invitation a été officiellement transmise par la commission de la Cedeao aux différents pays membres. D’après une source diplomatique, le processus électoral au Burkina Faso devrait particulièrement être au coeur des discussions.
Les chefs d’État de la Cedeao, au premier rang desquels Macky Sall, devraient une nouvelle fois insister auprès des autorités de transition burkinabè sur la nécessité d’organiser des scrutins présidentiel et législatifs « inclusifs », c’est-à-dire ouverts aux candidats de tous bords. Fin août, le Conseil constitutionnel burkinabè, s’appuyant sur le code électoral rendant inéligibles les personnes ayant soutenu le projet de modification constitutionnelle de Blaise Compaoré, avait exclu les candidats du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) des élections législatives et présidentielle, dont le premier tour est prévu le 11 octobre.
Sur initiative du président sénégalais, l’invitation a été officiellement transmise par la commission de la Cedeao aux différents pays membres. D’après une source diplomatique, le processus électoral au Burkina Faso devrait particulièrement être au coeur des discussions.
Les chefs d’État de la Cedeao, au premier rang desquels Macky Sall, devraient une nouvelle fois insister auprès des autorités de transition burkinabè sur la nécessité d’organiser des scrutins présidentiel et législatifs « inclusifs », c’est-à-dire ouverts aux candidats de tous bords. Fin août, le Conseil constitutionnel burkinabè, s’appuyant sur le code électoral rendant inéligibles les personnes ayant soutenu le projet de modification constitutionnelle de Blaise Compaoré, avait exclu les candidats du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) des élections législatives et présidentielle, dont le premier tour est prévu le 11 octobre.