Le président sénégalais Macky Sall s’est rendu en Gambie en début de semaine. Il a coprésidé hier mardi, la troisième session du Conseil présidentiel sénégalo-gambien Dans le discours prononcé à l’occasion, Macky Sall a assuré que son pays ne recherchait rien en Gambie « en dehors de la paix et la coopération mutuelle ». Il a tout de même mis l’accent sur la sécurité, évoquant la situation en Casamance.
« Nous ne tolérons ni n’accepterons rien de tel »
« Le principal intérêt du Sénégal est sa sécurité ; nous savons tous ce qui se passe en Casamance, et nous avons dit clairement que nous ne permettrons jamais à aucun pays d’héberger des gens et de leur permettre d’utiliser leur territoire pour nous attaquer. Nous ne tolérons ni n’accepterons rien de tel » a averti le président sénégalais selon « The Standard ». Le Sénégal est confronté à une rébellion en Casamance depuis 1982.
Indésirables sous le régime Barrow
Le conflit, de faible intensité, a déjà fait quelque 5.000 morts et déplacé des dizaines de milliers de personnes. La Casamance est frontalière à la Gambie au Nord. Selon l’IRIS (Institut des Relations Internationales et Stratégiques), les rebelles du MFDC ont pu profiter des libéralités de Yahya Jammeh quand ce dernier dirigeait la Gambie, mais depuis l’arrivée de Barrow au pouvoir la donne a changé. Ils ne sont plus les bienvenus dans ce pays encore moins en Guinée Bissau.
« Nous ne tolérons ni n’accepterons rien de tel »
« Le principal intérêt du Sénégal est sa sécurité ; nous savons tous ce qui se passe en Casamance, et nous avons dit clairement que nous ne permettrons jamais à aucun pays d’héberger des gens et de leur permettre d’utiliser leur territoire pour nous attaquer. Nous ne tolérons ni n’accepterons rien de tel » a averti le président sénégalais selon « The Standard ». Le Sénégal est confronté à une rébellion en Casamance depuis 1982.
Indésirables sous le régime Barrow
Le conflit, de faible intensité, a déjà fait quelque 5.000 morts et déplacé des dizaines de milliers de personnes. La Casamance est frontalière à la Gambie au Nord. Selon l’IRIS (Institut des Relations Internationales et Stratégiques), les rebelles du MFDC ont pu profiter des libéralités de Yahya Jammeh quand ce dernier dirigeait la Gambie, mais depuis l’arrivée de Barrow au pouvoir la donne a changé. Ils ne sont plus les bienvenus dans ce pays encore moins en Guinée Bissau.