La campagne électorale est marquée par des violences. La dernière en date est l’attaque du cortège de Pastef à l’entrée de Agnam (Matam), ce mercredi 6 novembre.
Ainsi, le chef de l’État a réitéré son appel aux acteurs politiques et aux populations pour le déroulement dans le calme, la sérénité et le respect des règles démocratiques de la campagne pour les élections législatives anticipées du 17 novembre 2024. «Il a demandé au ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique et au garde des Sceaux, ministre de la Justice de prendre, conformément aux lois et règlements, toutes les mesures et dispositions qui s’imposent pour une campagne électorale apaisée sur l’étendue du territoire national », lit-on dans le communiqué du Conseil des ministres tenu ce jour au palais de la République.
À 48 heures du démarrage de la campagne pour les Législatives, Bassirou Diomaye Faye avait appelé à «une campagne électorale pacifique et digne ».