Lequel poursuit: "nous rappelons qu'il y avait trois TANGANAS dans la prison du Camp pénal avec lesquels l'administration pénitentiaire du Camp pénal entretenait un business au détriment des détenus de la prison. Interdisant de recevoir des repas de leur famille sous prétexte de coronavirus, interdisant la vente d'œufs dans la boutique de la prison et préparant des repas à la qualité douteuse, l'administration pénitentiaire imposait ainsi aux détenus d'acheter des omelettes dans les trois TANGANAS. Ces TANGANAS versaient 5.000 FCFA par jour à l'administration pénitentiaire soit 15.000 FCFA par jour, 450.000 FCFA par mois", révèle FRAPP.
Qui ajoute: "le secrétariat exécutif national du FRAPP rappelle que l'objectif n'a jamais été de faire affecter le directeur de la prison, mais de permettre aux repas des détenus d'entrer dans la prison du Camp pénal", dit-il.
Le FRAPP continue d'exiger l'entrée dans la prison du Camp pénal des repas des détenus.
"Même si le directeur de la prison du Camp pénal est affecté et que le chef de cour et son adjoint qui supervisaient ce business des TANGANAS sont encore là-bas, cela ne changera absolument rien à la situation des détenus. Le directeur de l'administration pénitentiaire doit permettre l'entrée des repas des détenus et améliorer les repas servis aux détenus", s'interroge le FRAPP qui conseille "l'audit de toutes les 37 prisons du Sénégal afin d'améliorer les conditions de détention qui sont inhumaines dans ces établissements pénitentiaires et la levée des restrictions COVID en vigueur instaurées par le ministère de tutelle concernant l'entrée des repas".
Qui ajoute: "le secrétariat exécutif national du FRAPP rappelle que l'objectif n'a jamais été de faire affecter le directeur de la prison, mais de permettre aux repas des détenus d'entrer dans la prison du Camp pénal", dit-il.
Le FRAPP continue d'exiger l'entrée dans la prison du Camp pénal des repas des détenus.
"Même si le directeur de la prison du Camp pénal est affecté et que le chef de cour et son adjoint qui supervisaient ce business des TANGANAS sont encore là-bas, cela ne changera absolument rien à la situation des détenus. Le directeur de l'administration pénitentiaire doit permettre l'entrée des repas des détenus et améliorer les repas servis aux détenus", s'interroge le FRAPP qui conseille "l'audit de toutes les 37 prisons du Sénégal afin d'améliorer les conditions de détention qui sont inhumaines dans ces établissements pénitentiaires et la levée des restrictions COVID en vigueur instaurées par le ministère de tutelle concernant l'entrée des repas".