Détenus en cellule d'isolement au Camp Pénal...
Le communiqué soutient qu'"au Camp pénal, il est interdit aux prisonniers de recevoir des repas de leur famille alors que personne ne parle plus de coronavirus au Sénégal. Mais cette mesure s'explique car il y a des TANGANAS dans la prison qui vendent des omelettes et qui versent 5.000 FCFA par jour à la direction de la prison du Camp pénal. Et pour garantir ce business florissant, non seulement les repas en provenance de leur famille sont interdits mais en plus les achats d'œufs interdits à la boutique. Les prisonniers qui veulent des œufs doivent aller au tangana".
Grève de la faim à Kaolack
"D'autres prisonniers, cette fois-ci à Kaolack sont en grève de la faim pour protester contre les conditions carcérales. Le verre de sucre (verre de thé) y est vendu à 125 FCFA. Les 10 secondes de communication téléphonique sont vendues aux prisonniers à 60 FCFA. Il n'y a qu'un robinet pour plus de 250 prisonniers", fait savoir le FRAPP.
Le mouvement interpelle le ministre de la justice ainsi que le directeur de l'administration pénitentiaire pour un règlement diligent de ces préoccupations des détenus.
Le communiqué soutient qu'"au Camp pénal, il est interdit aux prisonniers de recevoir des repas de leur famille alors que personne ne parle plus de coronavirus au Sénégal. Mais cette mesure s'explique car il y a des TANGANAS dans la prison qui vendent des omelettes et qui versent 5.000 FCFA par jour à la direction de la prison du Camp pénal. Et pour garantir ce business florissant, non seulement les repas en provenance de leur famille sont interdits mais en plus les achats d'œufs interdits à la boutique. Les prisonniers qui veulent des œufs doivent aller au tangana".
Grève de la faim à Kaolack
"D'autres prisonniers, cette fois-ci à Kaolack sont en grève de la faim pour protester contre les conditions carcérales. Le verre de sucre (verre de thé) y est vendu à 125 FCFA. Les 10 secondes de communication téléphonique sont vendues aux prisonniers à 60 FCFA. Il n'y a qu'un robinet pour plus de 250 prisonniers", fait savoir le FRAPP.
Le mouvement interpelle le ministre de la justice ainsi que le directeur de l'administration pénitentiaire pour un règlement diligent de ces préoccupations des détenus.