’’La vision 2020 avait été adoptée en 2007 par les chefs d’Etats pour passer d’une CEDEAO des Etats à une CEDEAO des peuples (…) mais le temps semble être contre nous à cinq années de l’échéance’’, a expliqué Mankeur Ndiaye, ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur.
Il présidait la session extraordinaire du Conseil des ministres de la CEDEAO ouverte lundi à Dakar. Cette rencontre de deux jours a principalement pour objet l’examen du rapport du Comité ministériel ad hoc sur le mandat des fonctionnaires statutaires et la réforme institutionnelle qui s’est tenue à Dakar les 28 et 29 juillet dernier.
Mankeur Ndiaye demeure convaincu qu’en accélérant la réforme institutionnelle ‘’la CEDEAO se doterait des moyens de donner corps à cette vision 2020 et d’ériger un espace communautaire ouest-africain stable et prospère, dans lequel les populations vivent dans la dignité et la paix’’.
Le ministre sénégalais a insisté sur la nécessité de bâtir une CEDEAO qui puisse ‘’répondre au mieux aux exigences d’un contexte régional et international en perpétuelle mutation’’.
Mais cela passe, selon le président de la commission de la CEDEAO Kadré Désiré Ouedraogo par une matérialisation ‘’de la décision des chefs d’Etats de procéder à une vaste réformes des structures, des mécanismes et des procédures de gestion de l’institution’’.
Il s’est aussi félicité ‘’de la ferme volonté manifestée par les chefs d’Etats et de gouvernement d’accélérer le rythme de l’intégration régionale’’.
La rencontre de Dakar va permettre aux membres du Comité ad hoc composé du Cabo Verde, du Ghana, de la Guinée, du Nigéria et du Sénégal d’examiner les propositions relatives à la finalisation du processus de réforme institutionnelle de la Communauté et d’anticiper sur la fin des mandats des fonctionnaires statutaires venant à expiration en 2016.
APS
Il présidait la session extraordinaire du Conseil des ministres de la CEDEAO ouverte lundi à Dakar. Cette rencontre de deux jours a principalement pour objet l’examen du rapport du Comité ministériel ad hoc sur le mandat des fonctionnaires statutaires et la réforme institutionnelle qui s’est tenue à Dakar les 28 et 29 juillet dernier.
Mankeur Ndiaye demeure convaincu qu’en accélérant la réforme institutionnelle ‘’la CEDEAO se doterait des moyens de donner corps à cette vision 2020 et d’ériger un espace communautaire ouest-africain stable et prospère, dans lequel les populations vivent dans la dignité et la paix’’.
Le ministre sénégalais a insisté sur la nécessité de bâtir une CEDEAO qui puisse ‘’répondre au mieux aux exigences d’un contexte régional et international en perpétuelle mutation’’.
Mais cela passe, selon le président de la commission de la CEDEAO Kadré Désiré Ouedraogo par une matérialisation ‘’de la décision des chefs d’Etats de procéder à une vaste réformes des structures, des mécanismes et des procédures de gestion de l’institution’’.
Il s’est aussi félicité ‘’de la ferme volonté manifestée par les chefs d’Etats et de gouvernement d’accélérer le rythme de l’intégration régionale’’.
La rencontre de Dakar va permettre aux membres du Comité ad hoc composé du Cabo Verde, du Ghana, de la Guinée, du Nigéria et du Sénégal d’examiner les propositions relatives à la finalisation du processus de réforme institutionnelle de la Communauté et d’anticiper sur la fin des mandats des fonctionnaires statutaires venant à expiration en 2016.
APS