. “Il faut revoir comment les leaders doivent occuper les espaces. Parce que ce n'est pas la première ni la deuxième fois. À la limite, je me suis beaucoup demandé si le Pastef ne prête pas le flanc dans sa communication externe”, dit-il.
Poursuivant, il relativise, en indiquant que l'État doit aussi accepter le principe de la liberté des opinions. “Tout le monde ne peut pas parler de la même manière. Il y a souvent de l'émotion. Je pense que le juge doit quand même veiller au respect des droits d'expression des leaders politiques”, soutient-il.
Abdoulaye Sy partage cet avis. Parce que, dit-il, dans l'espace politique, on ne peut pas se permettre de disserter comme on veut, surtout à l'encontre des institutions. “Pastef gagnerait à davantage revoir sa communication. On peut véritablement dire ce qu'on pense, en prenant une certaine hauteur et éviter certaines insanités qui peuvent porter préjudice au parti. Je pense que cette communication à la guerrière ne profitera pas au parti. Surtout par rapport au contexte dans lequel nous sommes. Ce ne sont pas des discours qui vont nous permettre de développer notre capitale sympathie”, invite Abdoulaye Cissé.
Il note aussi que le discours de Birame Souleymane a été véritable condamné par les Sénégalais. Dans le but d'aller dans le sens d'un discours apaisant, il note que le Pastef a d’autres potentiels débatteurs qui maîtrisent les sujets.
“Il y a beaucoup d'autres leaders, aujourd'hui, qui sont en train d'émerger. Ngagne Demba Touré est en train de gagner des galons. Il a une communication plus ou moins relative. Parce qu'il maîtrise également son sujet. Il ne s'aventure pas à parler de choses qu'il ne maîtrise pas. Ses sorties médiatiques sont souvent suivies et appréciées. Ce sont ces genres de jeunes qu'il faut identifier et promouvoir en termes de communication dans l'espace public”, estime Abdoulaye Cissé.
EnQuete
Poursuivant, il relativise, en indiquant que l'État doit aussi accepter le principe de la liberté des opinions. “Tout le monde ne peut pas parler de la même manière. Il y a souvent de l'émotion. Je pense que le juge doit quand même veiller au respect des droits d'expression des leaders politiques”, soutient-il.
Abdoulaye Sy partage cet avis. Parce que, dit-il, dans l'espace politique, on ne peut pas se permettre de disserter comme on veut, surtout à l'encontre des institutions. “Pastef gagnerait à davantage revoir sa communication. On peut véritablement dire ce qu'on pense, en prenant une certaine hauteur et éviter certaines insanités qui peuvent porter préjudice au parti. Je pense que cette communication à la guerrière ne profitera pas au parti. Surtout par rapport au contexte dans lequel nous sommes. Ce ne sont pas des discours qui vont nous permettre de développer notre capitale sympathie”, invite Abdoulaye Cissé.
Il note aussi que le discours de Birame Souleymane a été véritable condamné par les Sénégalais. Dans le but d'aller dans le sens d'un discours apaisant, il note que le Pastef a d’autres potentiels débatteurs qui maîtrisent les sujets.
“Il y a beaucoup d'autres leaders, aujourd'hui, qui sont en train d'émerger. Ngagne Demba Touré est en train de gagner des galons. Il a une communication plus ou moins relative. Parce qu'il maîtrise également son sujet. Il ne s'aventure pas à parler de choses qu'il ne maîtrise pas. Ses sorties médiatiques sont souvent suivies et appréciées. Ce sont ces genres de jeunes qu'il faut identifier et promouvoir en termes de communication dans l'espace public”, estime Abdoulaye Cissé.
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