L’annonce est faite devant le Jdd, ce dimanche 25 juin, par le Secrétaire national à la Communication du parti Pastef, El Hadji Malick Ndiaye.
Il dit : “Yaw a décidé de maintenir ce rassemblement. Je pense que les jeunes et les femmes de la Coalition ont tenu une conférence de presse pour réitérer cette volonté d’aller lever les barrières de la honte.
Parce que simplement, il n’y a aucune base légale qui permet au Président Macky Sall et son clan d’imposer, je dirais, un emprisonnement. Même les pensionnaires de Rebeuss ou du Cap Manuel ont droit à des visites. Ousmane Sonko ne reçoit même pas ses avocats. C’est non seulement illégal, immoral mais surtout cela (entache) l’image du Sénégal.”
“Si le procès (Sweet Beauté) s’était bien déroulé, avec toutes les preuves, aujourd’hui, il (Ousmane Sonko) serait en prison” mais pas “assigné à résidence. C’est cela la vérité”, fulmine-t-il.
De ce fait, appuie-t-il, en tant que maire de Ziguinchor, Ousmane Sonko devait célébrer la Tabaski “auprès de ses administrés, de sa famille, sa maman, entre autres”.
Interpellé sur les risques encourus surtout après les derniers événements, il a soutenu que Yaw “ne peut pas rester les bras croisés
Il dit : “Yaw a décidé de maintenir ce rassemblement. Je pense que les jeunes et les femmes de la Coalition ont tenu une conférence de presse pour réitérer cette volonté d’aller lever les barrières de la honte.
Parce que simplement, il n’y a aucune base légale qui permet au Président Macky Sall et son clan d’imposer, je dirais, un emprisonnement. Même les pensionnaires de Rebeuss ou du Cap Manuel ont droit à des visites. Ousmane Sonko ne reçoit même pas ses avocats. C’est non seulement illégal, immoral mais surtout cela (entache) l’image du Sénégal.”
“Si le procès (Sweet Beauté) s’était bien déroulé, avec toutes les preuves, aujourd’hui, il (Ousmane Sonko) serait en prison” mais pas “assigné à résidence. C’est cela la vérité”, fulmine-t-il.
De ce fait, appuie-t-il, en tant que maire de Ziguinchor, Ousmane Sonko devait célébrer la Tabaski “auprès de ses administrés, de sa famille, sa maman, entre autres”.
Interpellé sur les risques encourus surtout après les derniers événements, il a soutenu que Yaw “ne peut pas rester les bras croisés