L’affaire du « Dieuw » de Ameth Aïdara continue de faire couler beaucoup d’encre et de salive. Après les sorties musclées du promoteur de lutte Gaston Mbengue, du lutteur Balla Gaye et des révélations fracassantes d’El Hadj Dame Diop dit « Toubab », c’est autour de Baye Ndiaye de monter au créneau. En effet, le jeune frère du promoteur de lutte Aziz Ndiaye invite le journaliste Ameth Aïdara à présenter des excuses publiques au leader Politique Malick Gakou pour l’avoir « vilipendé pendant plus d’une année sans que ce dernier n’ait eu à répliquer ».
« Malick Gackou n’a que Guédiawaye et nous jeunes de ce quartier aussi n’avons que lui. Qu’on arrête de vouloir nous mettre en mal avec lui », réagissait Balla Gaye 2 à la suite des « révélations » rendues publiques du journaliste Ahmet Aïdara. A cette même occasion, le fils de « Double Less » a déclaré aussi ces propos : « Ma relation avec Malick Gackou est au beau fixe et reste très saine. Il m’a soutenu dès le début de ma carrière. Il a été d’un grand apport pour l’école de lutte Balla Gaye dont je suis aujourd’hui le porte-flambeau. Je lui en suis reconnaissant et je le serai pour toujours. Il est mon grand frère et le restera pour moi et pour les jeunes de Guédiawaye qu’il a toujours soutenus et accompagnés. Les propos de Ahmed Aïdara n’engagent que lui-même. Je n’ai jamais entretenu une telle conversion avec lui ». Hier, Baye frère du promoteur Aziz Ndiaye est entré pour ainsi dire dans la danse.
D’après M. Ndiaye, « Depuis près d’un an, le journaliste Aïdara s’attaque à notre grand El Hadj Malick Gakou qui est, comme nous tous, un digne fils de Guédiawaye. L’ancien ministre n’a jamais répliqué à ses propos malveillants. Que le mis en cause présente ses excuses à Gakou. C’est tout ce qu’il doit faire. A plusieurs reprises, de faire la paix en faisant le premier pas ce que ce dernier a toujours refusé ». Avant de poursuivre : « J’insiste sur le fait que Ameth Aïdara doit laisser en paix notre grand Gakou, un modèle qui ne cesse d’œuvrer pour notre localité. En plus de cela, ils ne boxent pas dans la même catégorie. Le journaliste doit s’amender, c’est tout. Nous nous connaissons tous. S’il continue ses dénigrements, il finira par le regretter. D’après ce que nous savons, il y aurait d’autres enregistrements qui mouillent Aïdara qu’on n’hésiterait pas à brandir contre lui ».
D. MBODJ Direct infos
« Malick Gackou n’a que Guédiawaye et nous jeunes de ce quartier aussi n’avons que lui. Qu’on arrête de vouloir nous mettre en mal avec lui », réagissait Balla Gaye 2 à la suite des « révélations » rendues publiques du journaliste Ahmet Aïdara. A cette même occasion, le fils de « Double Less » a déclaré aussi ces propos : « Ma relation avec Malick Gackou est au beau fixe et reste très saine. Il m’a soutenu dès le début de ma carrière. Il a été d’un grand apport pour l’école de lutte Balla Gaye dont je suis aujourd’hui le porte-flambeau. Je lui en suis reconnaissant et je le serai pour toujours. Il est mon grand frère et le restera pour moi et pour les jeunes de Guédiawaye qu’il a toujours soutenus et accompagnés. Les propos de Ahmed Aïdara n’engagent que lui-même. Je n’ai jamais entretenu une telle conversion avec lui ». Hier, Baye frère du promoteur Aziz Ndiaye est entré pour ainsi dire dans la danse.
D’après M. Ndiaye, « Depuis près d’un an, le journaliste Aïdara s’attaque à notre grand El Hadj Malick Gakou qui est, comme nous tous, un digne fils de Guédiawaye. L’ancien ministre n’a jamais répliqué à ses propos malveillants. Que le mis en cause présente ses excuses à Gakou. C’est tout ce qu’il doit faire. A plusieurs reprises, de faire la paix en faisant le premier pas ce que ce dernier a toujours refusé ». Avant de poursuivre : « J’insiste sur le fait que Ameth Aïdara doit laisser en paix notre grand Gakou, un modèle qui ne cesse d’œuvrer pour notre localité. En plus de cela, ils ne boxent pas dans la même catégorie. Le journaliste doit s’amender, c’est tout. Nous nous connaissons tous. S’il continue ses dénigrements, il finira par le regretter. D’après ce que nous savons, il y aurait d’autres enregistrements qui mouillent Aïdara qu’on n’hésiterait pas à brandir contre lui ».
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