A moins d’une semaine, trois meurtres ont été enregistrés à Dakar. Après celui de Kiné Gaye tuée par son collègue dans un multiservice sis à Pikine, le vendredi 20 mai, dans la soirée, un autre meurtre a été enregistré à Ouakam. Un jeune du nom de Papi Niang est poignardé à mort par un de ses amis pour une dette de 25.000 francs. Un troisième cas a été notifié à Diamaguène Sicap Mbao, le dimanche. Il s’agit d’un jeune nommé Khabane Dieng tué à la suite d’une bagarre par une de ses connaissances.
Et pas plus tard que le lundi 23 mai, un orpailleur malien a fracassé la tête de son compatriote à la suite d’une dispute sur la finale Liverpool Real. Auparavant, le jeudi 19 mai, un homme a tué son épouse au Maroc, à cause de soupçons d’infidélité.
Il lui a donné plusieurs coups de couteau jusqu’à ce que Fatoumata Baldé succombe à ses blessures. Autant de cas de meurtres qui ont installé un sentiment de peur chez les Sénégalais. Une situation qui pousse à s’interroger sur le niveau de violence de certains Sénégalais.
Et le plus choquant, c’est que ces différents cas de violences notés dernièrement et qui ont débouché sur mort d’homme, sont causés par la quête obsessionnelle de l’avoir qui pousse certains à commettre l’irréparable. Une situation qui montre que le problème est d’ordre social.
Dans ce sens, il urge de se démarquer de la pression sociale que certains proches font subir à leurs époux, enfants ou encore un membre quelconque de la famille. Et les inégalités sociales observées dans la société sénégalaise, ayant comme conséquence un certain sentiment de rejet, semblent aggraver ce phénomène
Bes Bi
Et pas plus tard que le lundi 23 mai, un orpailleur malien a fracassé la tête de son compatriote à la suite d’une dispute sur la finale Liverpool Real. Auparavant, le jeudi 19 mai, un homme a tué son épouse au Maroc, à cause de soupçons d’infidélité.
Il lui a donné plusieurs coups de couteau jusqu’à ce que Fatoumata Baldé succombe à ses blessures. Autant de cas de meurtres qui ont installé un sentiment de peur chez les Sénégalais. Une situation qui pousse à s’interroger sur le niveau de violence de certains Sénégalais.
Et le plus choquant, c’est que ces différents cas de violences notés dernièrement et qui ont débouché sur mort d’homme, sont causés par la quête obsessionnelle de l’avoir qui pousse certains à commettre l’irréparable. Une situation qui montre que le problème est d’ordre social.
Dans ce sens, il urge de se démarquer de la pression sociale que certains proches font subir à leurs époux, enfants ou encore un membre quelconque de la famille. Et les inégalités sociales observées dans la société sénégalaise, ayant comme conséquence un certain sentiment de rejet, semblent aggraver ce phénomène
Bes Bi