« Il y a plus de deux cent partis politiques au Sénégal. Je ne discute pas du nombre. Je dis simplement que 260 partis politiques ne peuvent pas être financés par l’Etat du Sénégal, ne peuvent pas accéder correctement aux médias et ne peuvent pas se faire entendre correctement par les populations. Il faut trouver une solution »., a dit, selon Walf Quotidien, l’ancien ministre conseiller du Président Abdoulaye Wade et actuel Secrétaire général de la Convergence libérale patriotique (Clp). Serigne Mbacké Ndiaye, qui présidait la mise en place de l’instance régionale de sa formation politique à Thiès estime que la solution à ce phénomène serait que les partis politiques qui sont en train de discuter autour ministre de l’Intérieur et de la Cena se mettent d’accord sur un nombre de partis qu’il ne faudra jamais dépasser. Et aussitôt ce nombre retenu, il s’agira ensuite d’exiger à tous les partis légalement constitués qu’ils participent individuellement aux prochaines élections législatives, quitte à ce qu’ils disparaissent s’ils ne peuvent pas participer aux élections. Serigne Mbacké Ndiaye trouve inadmissible que des partis qui ont d’une décennie d’existence ne puissent jamais participer à des élections.
D’après lui, à l’issue de ces élections, l’Etat pourra financer, au maximum, les dix premiers qui sortiront des urnes. Quant aux autres, poursuit-il, ils ne disparaîtront pas mais vont se limiter à leur travail de massification et de proximité qui leur permettrait d’intégrer prochainement le groupe des dix. Dans cette même logique, Serigne Mbacké Ndiaye est d’avis qu’il faut aller vers la suppression des coalitions pour spécifier clairement, dans le code électoral, que tous les partis politiques ont l’obligation de participer aux élections. « On ne peut pas se dire parti politique, utiliser les médias de l’Etat et tout ce que l’Etat a et au moment des élections se mettre à carreau. Il faut supprimer les coalitions et exiger aux partis d’aller seuls aux élections », dit-il dans le journal.
D’après lui, à l’issue de ces élections, l’Etat pourra financer, au maximum, les dix premiers qui sortiront des urnes. Quant aux autres, poursuit-il, ils ne disparaîtront pas mais vont se limiter à leur travail de massification et de proximité qui leur permettrait d’intégrer prochainement le groupe des dix. Dans cette même logique, Serigne Mbacké Ndiaye est d’avis qu’il faut aller vers la suppression des coalitions pour spécifier clairement, dans le code électoral, que tous les partis politiques ont l’obligation de participer aux élections. « On ne peut pas se dire parti politique, utiliser les médias de l’Etat et tout ce que l’Etat a et au moment des élections se mettre à carreau. Il faut supprimer les coalitions et exiger aux partis d’aller seuls aux élections », dit-il dans le journal.