Le Directeur Général de la police nationale, joint au téléphone par la TFM, a apporté des éclaircissements par rapport à cette opération. Oumar Maal a étalé les dessous de l’arrestation des deux djihadistes, soupçonnés d’être impliqués dans les attentats de Grand Bassam en Côte d’Ivoire.
Et le patron de la police de nous dire que «pour le moment on ne peut ni confirmer, ni infirmer leur implication dans les attaques de Grand Bassam vu que l’enquête est en cours. Ce qu’il a lieu de retenir c’est que ces deux djihadistes se sont introduits au Sénégal et après que les services extérieurs nous aient donné l’alerte, nous avons suivi les concernés près d’un mois avant de les interpeller».
Questionné sur leur implication dans l’attaque à Grand Bassam, M. Maal juge que «pour le moment, l’enquête est en cours et l’on ne peut pas sur se prononcer sur l’avenir». Parlant de l’exposition du Sénégal et tous les autres pays au terrorisme, il dira que «seule une collaboration entre les pays concernés peut permettre de sécuriser nos pays parce qu’il y a des poches poreuses entre nos frontières communes».
Le voisinage entre les djihadistes et les citoyens sénégalais a été aussi sujet de polémique mais le DG de la police nationale a jugé qu’il n’y avait pas de «matière à inquiétude parce que ces djihadistes ont été sous filature. Le commun des sénégalais pouvaient penser que ceci était dangereux mais nous maîtrisions la situation. Les Sénégalais doivent être beaucoup plus vigilants».
Et le patron de la police de nous dire que «pour le moment on ne peut ni confirmer, ni infirmer leur implication dans les attaques de Grand Bassam vu que l’enquête est en cours. Ce qu’il a lieu de retenir c’est que ces deux djihadistes se sont introduits au Sénégal et après que les services extérieurs nous aient donné l’alerte, nous avons suivi les concernés près d’un mois avant de les interpeller».
Questionné sur leur implication dans l’attaque à Grand Bassam, M. Maal juge que «pour le moment, l’enquête est en cours et l’on ne peut pas sur se prononcer sur l’avenir». Parlant de l’exposition du Sénégal et tous les autres pays au terrorisme, il dira que «seule une collaboration entre les pays concernés peut permettre de sécuriser nos pays parce qu’il y a des poches poreuses entre nos frontières communes».
Le voisinage entre les djihadistes et les citoyens sénégalais a été aussi sujet de polémique mais le DG de la police nationale a jugé qu’il n’y avait pas de «matière à inquiétude parce que ces djihadistes ont été sous filature. Le commun des sénégalais pouvaient penser que ceci était dangereux mais nous maîtrisions la situation. Les Sénégalais doivent être beaucoup plus vigilants».