À Mbacké, toujours ce jeudi 09 février 2023, le commissaire de police a convoqué les responsables du parti, organisateurs du meeting de Pastef, prévu demain, pour leur dire que l’activité ne pourrait être tenue au motif qu’il n’y a que deux signataires sur la lettre d’information à l’administration.
Au moment où nous écrivons ces lignes, certains parmi eux sont en état d’arrestation, y compris un député à l’Assemblée nationale, l’honorable Cheikh Thioro Mbacké.
La forfaiture du préfet, auteur de cette décision est choquante. En effet, en ouvrant les guillemets pour citer l’article 96 du code pénal du Sénégal en vigueur, comme base légale de « l’interdiction », le préfet du département de Mbacké, monsieur Amadoune Diop, a reproduit les dispositions, non pas du Code pénal, mais celles de la loi N*74-13 du 24 juin 1974, d’ailleurs abrogée, dans ses dispositions contraires, par l’article 18 de la loi N° 78-02 DU 29 janvier 1978 relatives aux réunions. Cette forfaiture ne passera pas!
Nous avons saisi, renseigne-t-il, la Cour Suprême d’une requête en référé aux fins de l’annulation de cette honteuse décision.
En attendant la décision du juge des référés, le Mega Meeting de Mbacké reste maintenu ! Au préfet qui s’est courbé devant les ordres illégaux de ses supérieurs d’en assumer les conséquences devant l’histoire.
En conséquence, Ousmane appelle les militants et sympathisants à maintenir la très forte mobilisation notée qui crée la psychose chez Macky Sall au point qu’il ait besoin d’être « rassuré » par une mobilisation payante de ses responsables et alliés politiques moribonds. « En tout état de cause, j’avais déjà formulé mon intention d’accomplir ma prière du vendredi dans la cité religieuse de Touba avant de me rendre à Mbacké solliciter les prières auprès de Serigne Amdy Modou Mbenda Fall, khalife des baye fall , je compte bien m’en acquitter par la grâce de Dieu. »
Aucune dictature, promet-il, ne prospéra au Sénégal et plus aucune forfaiture ne sera tolérée. Macky Sall gagnerait à le comprendre, pendant qu’il est encore temps, pour préserver la paix civile.
Au moment où nous écrivons ces lignes, certains parmi eux sont en état d’arrestation, y compris un député à l’Assemblée nationale, l’honorable Cheikh Thioro Mbacké.
La forfaiture du préfet, auteur de cette décision est choquante. En effet, en ouvrant les guillemets pour citer l’article 96 du code pénal du Sénégal en vigueur, comme base légale de « l’interdiction », le préfet du département de Mbacké, monsieur Amadoune Diop, a reproduit les dispositions, non pas du Code pénal, mais celles de la loi N*74-13 du 24 juin 1974, d’ailleurs abrogée, dans ses dispositions contraires, par l’article 18 de la loi N° 78-02 DU 29 janvier 1978 relatives aux réunions. Cette forfaiture ne passera pas!
Nous avons saisi, renseigne-t-il, la Cour Suprême d’une requête en référé aux fins de l’annulation de cette honteuse décision.
En attendant la décision du juge des référés, le Mega Meeting de Mbacké reste maintenu ! Au préfet qui s’est courbé devant les ordres illégaux de ses supérieurs d’en assumer les conséquences devant l’histoire.
En conséquence, Ousmane appelle les militants et sympathisants à maintenir la très forte mobilisation notée qui crée la psychose chez Macky Sall au point qu’il ait besoin d’être « rassuré » par une mobilisation payante de ses responsables et alliés politiques moribonds. « En tout état de cause, j’avais déjà formulé mon intention d’accomplir ma prière du vendredi dans la cité religieuse de Touba avant de me rendre à Mbacké solliciter les prières auprès de Serigne Amdy Modou Mbenda Fall, khalife des baye fall , je compte bien m’en acquitter par la grâce de Dieu. »
Aucune dictature, promet-il, ne prospéra au Sénégal et plus aucune forfaiture ne sera tolérée. Macky Sall gagnerait à le comprendre, pendant qu’il est encore temps, pour préserver la paix civile.