Au Sénégal, personne n'est plus en sécurité à cause des agressions mortelles qui, en vérité, sont l'œuvre de grands malades mentaux. C’est l’intime conviction d’Ansoumana Dione, président de l’ASSAM. « Où sont les autorités gouvernementales à qui reviennent le devoir d'assurer la sécurité des populations », se demande-t-il. Avant de prévenir: « Attention, nous ne le dirons jamais assez. Aucune force n'arrêtera cette folle meurtrière au Sénégal ».
D'après "Rewmi", il rappelle que le 19 novembre 2016, Fatoumata Makhtar Ndiaye, 5e Vice-présidente du Conseil Economique, Social et Environnemental, a été égorgée à Pikine. En 2014, neuf malades mentaux errants ont été tués à Tambacounda, sans que personne ne soit arrêté. En vérité, déplore-t-il, ces nombreux cas d'agressions mortelles au Sénégal, relèvent, entre autres, de l'absence de politique de santé mentale. C'est pourquoi, il demande au chef de l'Etat Macky Sall, de bien vouloir les recevoir en audience, pour l'application des 19 mesures, retenues à l'issue d'un Atelier qu'ils avaient organisé le 21 novembre 2016, à Dakar.
D'après "Rewmi", il rappelle que le 19 novembre 2016, Fatoumata Makhtar Ndiaye, 5e Vice-présidente du Conseil Economique, Social et Environnemental, a été égorgée à Pikine. En 2014, neuf malades mentaux errants ont été tués à Tambacounda, sans que personne ne soit arrêté. En vérité, déplore-t-il, ces nombreux cas d'agressions mortelles au Sénégal, relèvent, entre autres, de l'absence de politique de santé mentale. C'est pourquoi, il demande au chef de l'Etat Macky Sall, de bien vouloir les recevoir en audience, pour l'application des 19 mesures, retenues à l'issue d'un Atelier qu'ils avaient organisé le 21 novembre 2016, à Dakar.