C’est du moins ce qu’a fait savoir le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan. Amadou Bâ présidait, hier, mardi 27 octobre, la présentation du rapport du Fmi sur les perspectives économiques en Afrique.
« Nous avons pris la décision de régler le problème de Suneor. Nous allons nous attaquer à Transrail, à Sénégal Airlines. Nous parlerons aussi de l’aéroport sous prétexte de financer un aéroport avec des moyens innovants. Nous sommes pratiquement dans une impasse et tout cela plombe la croissance», indique le ministre dans Sud Quotidien.
Selon l’argentier de l’Etat, le Sénégal a hérité d’un dossier qui mérite des réformes importantes. « Soit ce sont de mauvaises privatisations qui ont été faites soit ce sont des contrats qui ont été signés dans des conditions difficiles et qui, aujourd’hui, plombent la croissance », soutient-il
Concernant le nouveau repreneur de la Suneor, Amadou Bâ informe qu’un appel d’offres sera lancé. Car, dit-il, l’Etat n’a pas vocation à gérer les entreprises. « Nous sommes dans une situation qui nous oblige à reprendre la société. Je ne sais pas le temps que cela va prendre mais, nous veillerons à ce que les erreurs actuelles ne soient pas reprises dans un processus de privatisation. Sur ces dossiers, l’objectif du gouvernement c’est d’arriver à une solution viable avant la fin de cette année », a-t-il conclu.
« Nous avons pris la décision de régler le problème de Suneor. Nous allons nous attaquer à Transrail, à Sénégal Airlines. Nous parlerons aussi de l’aéroport sous prétexte de financer un aéroport avec des moyens innovants. Nous sommes pratiquement dans une impasse et tout cela plombe la croissance», indique le ministre dans Sud Quotidien.
Selon l’argentier de l’Etat, le Sénégal a hérité d’un dossier qui mérite des réformes importantes. « Soit ce sont de mauvaises privatisations qui ont été faites soit ce sont des contrats qui ont été signés dans des conditions difficiles et qui, aujourd’hui, plombent la croissance », soutient-il
Concernant le nouveau repreneur de la Suneor, Amadou Bâ informe qu’un appel d’offres sera lancé. Car, dit-il, l’Etat n’a pas vocation à gérer les entreprises. « Nous sommes dans une situation qui nous oblige à reprendre la société. Je ne sais pas le temps que cela va prendre mais, nous veillerons à ce que les erreurs actuelles ne soient pas reprises dans un processus de privatisation. Sur ces dossiers, l’objectif du gouvernement c’est d’arriver à une solution viable avant la fin de cette année », a-t-il conclu.