Le Sénégal doit supprimer sa parafiscalité pour faciliter la transparence dans la fiscalité. C’est l’avis du chef de mission du Fmi pour le Sénégal, Ali Mansoor. Il faisait face à la presse, hier, à Dakar, à la fin de sa visite. Ce dernier était à la tête d’une mission du Fonds monétaire international (Fmi) au Sénégal, du 2 au 15 septembre, pour conduire les entretiens relatifs à la première revue de l’accord triennal au titre de l’Instrument de Soutien à la politique économique (Ispe) approuvé au Sénégal en juin dernier. « Nous pensons que l’un des endroits où il faut plus de transparence, c'est la parafiscalité. Il y a beaucoup de prélèvements qui se font de manière non transparente. Nous pensons que quand l’argent est collecté, il doit d’abord aller au Trésor », a-t-il soutenu.
Pour ce qui est des dépenses fiscales, le conférencier note : « Le Sénégal est en avance sur les autres pays de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa) concernant les dépenses fiscales. Je pense que c’est le premier pays qui a fait un travail dans ce domaine ». Selon Ali Mansoor, ce n’est pas qu’on doit éliminer les dépenses fiscales, mais elles doivent être efficientes du point de vue social et économique. Et le fait de payer les taxes et les impôts à travers un virement bancaire ou des chèques pour éviter les problèmes de gouvernance est une mesure à saluer d’après lui. Dans sa déclaration finale, le chef de mission du Fmi est d’avis que la performance macroéconomique au cours de la première moitié de l’année a été globalement satisfaisante.
Pour ce qui est des dépenses fiscales, le conférencier note : « Le Sénégal est en avance sur les autres pays de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa) concernant les dépenses fiscales. Je pense que c’est le premier pays qui a fait un travail dans ce domaine ». Selon Ali Mansoor, ce n’est pas qu’on doit éliminer les dépenses fiscales, mais elles doivent être efficientes du point de vue social et économique. Et le fait de payer les taxes et les impôts à travers un virement bancaire ou des chèques pour éviter les problèmes de gouvernance est une mesure à saluer d’après lui. Dans sa déclaration finale, le chef de mission du Fmi est d’avis que la performance macroéconomique au cours de la première moitié de l’année a été globalement satisfaisante.