"Une équipe de la TFM a été prise à partie par quelques idiots à la place de la nation. A peine arrivée sur place avant 13 h, le journaliste a fait l'objet d'insultes et d'intimidation, au point de quitter la place qui devait recevoir une manifestation de Yewwi Askan Wi (coalition de l'opposition).
Plus tard dans cette même journée, le président de APPEL, Lissa Faye, a informé le Synpics que deux journalistes du site Leral, ont également été victimes d'intimidation et de violence verbale, au point d'arrêter le direct qu'ils faisaient à partir de la place de la Nation.
Une consœur de Emedia a également été violentée lors de la réunion des jeunes de Benno Bokk Yakaar à leur siège.
Le SYNPICS tient pour uniques responsables de ces violences faites à l'encontre de la Liberté de Presse, les leaders politiques qui à force de messages codés, ont fini de jeter une partie de la presse en pâture à leurs suiveurs écervelés, extrémistes. Les discours manichéens visant à soumettre la presse aux desiderata des politiciens, ne passeront pas.
Le BEN du Synpics reste très alerte face à la situation. Il est demandé aux journalistes de ne céder à aucune intimidation et à faire preuve d'une solidarité agissante, en opposant une fermeté a toute tentative d'embrigadement.
Tout agresseur de journaliste ou cameraman, qui qu'il soit, sil est identifié, sera poursuivi et rien ne nous fera reculer dans notre mission d'informer les populations de manière professionnelle et sans parti-pris.
Il est demandé aux forces de l'ordre d'assurer la sécurité des médias qui se déploient sur le terrain et de ne pas faillir à leur mission régalienne.
Pour le BEN du Synpics
Le SG"
Plus tard dans cette même journée, le président de APPEL, Lissa Faye, a informé le Synpics que deux journalistes du site Leral, ont également été victimes d'intimidation et de violence verbale, au point d'arrêter le direct qu'ils faisaient à partir de la place de la Nation.
Une consœur de Emedia a également été violentée lors de la réunion des jeunes de Benno Bokk Yakaar à leur siège.
Le SYNPICS tient pour uniques responsables de ces violences faites à l'encontre de la Liberté de Presse, les leaders politiques qui à force de messages codés, ont fini de jeter une partie de la presse en pâture à leurs suiveurs écervelés, extrémistes. Les discours manichéens visant à soumettre la presse aux desiderata des politiciens, ne passeront pas.
Le BEN du Synpics reste très alerte face à la situation. Il est demandé aux journalistes de ne céder à aucune intimidation et à faire preuve d'une solidarité agissante, en opposant une fermeté a toute tentative d'embrigadement.
Tout agresseur de journaliste ou cameraman, qui qu'il soit, sil est identifié, sera poursuivi et rien ne nous fera reculer dans notre mission d'informer les populations de manière professionnelle et sans parti-pris.
Il est demandé aux forces de l'ordre d'assurer la sécurité des médias qui se déploient sur le terrain et de ne pas faillir à leur mission régalienne.
Pour le BEN du Synpics
Le SG"