"Nous assistons depuis un certain temps à une agitation de quelques maires du département de Dakar. S'ils ne se distinguent pas par des mesures expéditives pour régler des questions d'occupation de la voie publique et autres, ils se lancent dans une campagne d'auto-victimisation et de défiance de l'autorité de l'Etat et de la justice", s’indigne Sidy Sam, dans un communiqué.
Le responsable de l’APR à la Médina estime que tout ceci laisse penser à un plan d'actions que ces maires sont en train de dérouler au nom d'une stratégie politique afin de jeter le discrédit sur l'Etat et surtout détourner les sénégalais des réalisations du Président Macky Sall et du gouvernement du Premier Ministre Mohamed Ben Abdallah Dionne.
Car, pense t-il, "le paradoxe dans leur démarche réside dans le fait que les mairies qu'ils dirigent représentent l'état dont elles sont délégataires d'un certain pouvoir et de certaines responsabilités, et cependant ils s'empressent de porter presse tout azimuts et n'hésitent pas à jouer aux héros dans la rue".
Pour M. Sam, aujourd'hui que le Sénégal se met sur la rampe de l'émergence avec une politique décentralisée, dans le cadre de l'acte III et du PSE, près 85% des communes de plein exercice de notre pays cherchent à se doter d'infrastructures et de services sociaux de base tels que les routes, les pistes de production, l'électricité, l'eau, les établissement de santé, etc..."
Alors, Sidy Sam ne comprend pas que ces maires -"héros"- des temps modernes s'adonnent à des batailles de rue dans leurs cités qui, paradoxalement ne manquent de rien en terme d'infrastructures et de services sociaux de base. Il invite à consacrer la plus grande partie de leurs budgets à l'emploi des jeunes et à la promotion des femmes.
C’est mieux, à son avis, que de "donner des aides ciblées à une clientèle politique favorable", pour "entretenir la pauvreté d'une population urbaine qui ne demande qu'à être orientée et accompagnée dans la voie de l'émergence", car, "rares sont ces maires qui ont installé un bureau d'accueil, de conseil et d'encadrement des jeunes et des femmes, ni une école de formation professionnelle".
Il s’interroge même sur la part de leur budget consacrée à la formation et à l'emploi afin de lutter efficacement contre la pauvreté et contribuer ainsi à l'émergence de notre pays. Et d’inviter à poser des actes qui règlent les problèmes des populations, preuve qu’ils ont une vision et des ambitions pour le développement de leurs collectivités, au delà des clivages politiques.
Le responsable de l’APR à la Médina estime que tout ceci laisse penser à un plan d'actions que ces maires sont en train de dérouler au nom d'une stratégie politique afin de jeter le discrédit sur l'Etat et surtout détourner les sénégalais des réalisations du Président Macky Sall et du gouvernement du Premier Ministre Mohamed Ben Abdallah Dionne.
Car, pense t-il, "le paradoxe dans leur démarche réside dans le fait que les mairies qu'ils dirigent représentent l'état dont elles sont délégataires d'un certain pouvoir et de certaines responsabilités, et cependant ils s'empressent de porter presse tout azimuts et n'hésitent pas à jouer aux héros dans la rue".
Pour M. Sam, aujourd'hui que le Sénégal se met sur la rampe de l'émergence avec une politique décentralisée, dans le cadre de l'acte III et du PSE, près 85% des communes de plein exercice de notre pays cherchent à se doter d'infrastructures et de services sociaux de base tels que les routes, les pistes de production, l'électricité, l'eau, les établissement de santé, etc..."
Alors, Sidy Sam ne comprend pas que ces maires -"héros"- des temps modernes s'adonnent à des batailles de rue dans leurs cités qui, paradoxalement ne manquent de rien en terme d'infrastructures et de services sociaux de base. Il invite à consacrer la plus grande partie de leurs budgets à l'emploi des jeunes et à la promotion des femmes.
C’est mieux, à son avis, que de "donner des aides ciblées à une clientèle politique favorable", pour "entretenir la pauvreté d'une population urbaine qui ne demande qu'à être orientée et accompagnée dans la voie de l'émergence", car, "rares sont ces maires qui ont installé un bureau d'accueil, de conseil et d'encadrement des jeunes et des femmes, ni une école de formation professionnelle".
Il s’interroge même sur la part de leur budget consacrée à la formation et à l'emploi afin de lutter efficacement contre la pauvreté et contribuer ainsi à l'émergence de notre pays. Et d’inviter à poser des actes qui règlent les problèmes des populations, preuve qu’ils ont une vision et des ambitions pour le développement de leurs collectivités, au delà des clivages politiques.